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author | Christian Grothoff <christian@grothoff.org> | 2020-10-11 13:29:45 +0200 |
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Quand un programme +respecte la liberté des utilisateurs et leur communauté, nous disons que +c'est un « logiciel libre » <cite>[free software]</cite>.</p> + +<p>Parfois aussi nous l'appelons <cite>libre software</cite> pour souligner le +fait que nous parlons de liberté et non de prix.<a id="TransNote1-rev" +href="#TransNote1"><sup>1</sup></a> Certains programmes privateurs <a +id="TransNote2-rev" href="#TransNote2"><sup>2</sup></a> (non libres), comme +Photoshop, sont vraiment coûteux ; d'autres, comme Flash Player, sont +disponibles gratuitement – mais c'est un détail mineur. Dans les deux cas, +ils donnent au développeur du programme du pouvoir sur les utilisateurs, +pouvoir que personne ne devrait posséder.</p> + +<p>Ces deux programmes non libres ont quelque chose d'autre en commun : ils +sont tous deux « malveillants », c'est-à-dire qu'ils ont tous deux des +fonctionnalités conçues pour traiter les utilisateurs de manière +inéquitable. De nos jours, le logiciel privateur est souvent malveillant +parce que <a href="/proprietary/proprietary.html">les développeurs sont +corrompus par le pouvoir qu'ils possèdent</a>. Le répertoire auquel renvoie +le lien précédent dénombre environ 450 fonctionnalités malveillantes (en +janvier 2020), mais c'est sans aucun doute la partie émergée de l'iceberg.</p> + +<p>Avec le logiciel libre, les utilisateurs contrôlent le programme, que ce +soit de manière individuelle ou collective. Par conséquent ils contrôlent ce +que font leurs ordinateurs (à supposer que ces ordinateurs soient <a +href="/philosophy/loyal-computers.html">loyaux</a> et fassent ce que les +programmes de l'utilisateur leur disent de faire).</p> + +<p>Avec le logiciel privateur, le programme contrôle les utilisateurs et une +autre entité (le développeur ou le « propriétaire ») contrôle le +programme. Donc le programme privateur donne à son développeur du pouvoir +sur les utilisateurs. C'est injuste en soi; de plus cela induit chez le +développeur la tentation de faire du tort aux utilisateurs par d'autres +moyens encore.</p> + +<p>Même quand un logiciel privateur n'est pas franchement malveillant, ses +développeurs sont incités à le rendre <a +href="https://observer.com/2016/06/how-technology-hijacks-peoples-minds%E2%80%8A-%E2%80%8Afrom-a-magician-and-googles-design-ethicist/">addictif, +dominateur et manipulateur</a>. On peut dire, comme le fait l'auteur de cet +article, que les développeurs ont une obligation morale de ne pas le faire, +mais en général ils privilégient leur intérêt. Si l'on veut éviter cela, il +faut faire en sorte que le programme ne contrôle pas ses utilisateurs.</p> + +<p>Avoir la liberté signifie avoir la maîtrise de sa propre vie. Si vous +utilisez un programme pour mener à bien des tâches affectant votre vie, +votre liberté dépend du contrôle que vous avez sur ce programme. Vous +méritez de contrôler les programmes que vous utilisez, d'autant plus quand +vous les utilisez pour quelque chose d'important pour vous.</p> + +<p>Pour que vous, l'utilisateur, ayez la maîtrise du programme, vous devez +bénéficier des quatre <a href="/philosophy/free-sw.html">libertés +essentielles</a>. +</p> + +<div class="important"> +<p>(0) La liberté de faire fonctionner le programme comme vous le souhaitez, +pour n'importe quel usage.</p> + +<p>(1) La liberté d'étudier le « code source » du programme et de le modifier, +de sorte qu'il s'exécute comme vous le souhaitez. Les logiciels sont écrits +par des programmeurs dans un langage de programmation ressemblant à de +l'anglais combiné avec de l'algèbre ; cette forme du logiciel est le « code +source ». Toute personne connaissant la programmation et ayant le logiciel +sous forme de code source peut le lire, comprendre son fonctionnement et +aussi le modifier. Quand tout ce que vous avez est la forme exécutable, une +série de nombres qui est optimisée pour faire fonctionner l'ordinateur, mais +extrêmement difficile à comprendre pour un être humain, la compréhension et +la modification du logiciel sous cette forme sont d'une difficulté +redoutable.</p> + +<p>(2) La liberté de créer et de distribuer des copies exactes quand vous le +souhaitez. Ce n'est pas une obligation ; c'est votre choix. Si le programme +est libre, cela ne signifie pas que quelqu'un a l'obligation de vous en +proposer une copie, ou que vous avez l'obligation de lui en proposer une +copie. Distribuer un programme à des utilisateurs sans liberté, c'est leur +faire du tort ; cependant, choisir de ne pas distribuer le programme — en +l'utilisant de manière privée — ne fait de tort à personne.</p> + +<p>(3) La liberté de faire et de distribuer des copies de vos versions +modifiées, quand vous le souhaitez.</p> +</div> + +<p>Avec les deux premières libertés, chaque utilisateur peut exercer un +contrôle individuel sur le programme. Avec les deux autres, n'importe quel +groupe rassemblant des utilisateurs peut exercer un <em>contrôle +collectif</em> sur le programme ; avec l'ensemble de ces quatre libertés, +les utilisateurs ont la pleine maîtrise du programme. Si l'une d'elle fait +défaut ou est inadéquate, le programme est privateur (non libre) et injuste.</p> + +<p>D’autres types d’œuvres sont exploitées pour accomplir des tâches +pratiques ; parmi celles-ci, les recettes de cuisine, les matériels +didactiques tels les manuels, les ouvrages de référence tels les +dictionnaires et les encyclopédies, les polices de caractère pour +l’affichage de texte mis en forme, les schémas électriques pour le matériel +à faire soi-même et les patrons pour fabriquer des objets utiles (pas +uniquement décoratifs) à l’aide d’une imprimante 3D. Il ne s’agit pas de +logiciels et le mouvement du logiciel libre ne les couvre donc pas au sens +strict. Mais le même raisonnement s’applique et conduit aux mêmes +conclusions : il faut que ces œuvres soient distribuées avec les quatre +libertés.</p> + +<p>Un programme libre vous permet de le bricoler pour lui faire faire ce que +vous voulez (ou cesser de faire quelque chose qui vous déplaît). L'idée de +bricoler le logiciel doit vous paraître ridicule si vous avez l'habitude des +boîtes noires du logiciel privateur, mais dans le monde du Libre c'est +courant, et c'est une bonne façon d'apprendre à programmer. Même le +passe-temps traditionnel des Américains, bricoler les voitures, est entravé +parce que les voitures contiennent maintenant du logiciel non libre.</p> + +<h3>L'injustice du privateur</h3> + +<p>Si les utilisateurs ne contrôlent pas le programme, le programme contrôle +les utilisateurs. Avec le logiciel privateur, il y a toujours une entité, le +développeur ou le « propriétaire » du programme, qui en a le contrôle et qui +exerce par ce biais un pouvoir sur les utilisateurs. Un programme non libre +est un joug, un instrument de pouvoir injuste.</p> + +<p>Dans des cas proprement scandaleux (devenus aujourd'hui tout à fait +habituels), <a href="/proprietary/proprietary.html">les programmes +privateurs sont conçus pour espionner les utilisateurs, leur imposer des +restrictions, les censurer et abuser d'eux</a>. Le système d'exploitation +des <a href="/philosophy/why-call-it-the-swindle.html">iTrucs</a> d'Apple, +par exemple, fait tout cela, et Windows également, sur les appareils mobiles +équipés de puces ARM. Windows, le micrologiciel des téléphones mobiles et +Google Chrome pour Windows comportent chacun une porte dérobée universelle +permettant à une certaine entreprise de modifier le programme à distance +sans requérir de permission. Le Kindle d'Amazon a une porte dérobée qui peut +effacer des livres.</p> + +<p>L'utilisation de logiciels privateurs dans le cadre de « l'internet des +objets » transformerait ce dernier en <a +href="http://ieet.org/index.php/IEET/more/rinesi20150806">« internet du +télémarketing »</a> ainsi qu'en « internet des fouineurs ».</p> + +<p>Pour en finir avec l'injustice des programmes non libres, le mouvement du +logiciel libre développe des logiciels libres qui donnent aux utilisateurs +la possibilité de se libérer eux-mêmes. Nous avons commencé en 1984 par le +développement du système d'exploitation libre <a +href="/gnu/the-gnu-project.html">GNU</a>. Aujourd'hui, des millions +d'ordinateurs tournent sous GNU, principalement sous la <a +href="/gnu/gnu-linux-faq.html">combinaison GNU/Linux</a>.</p> + +<p>Distribuer un programme aux utilisateurs sans la liberté leur fait du tort ; +cependant, choisir de ne pas distribuer le programme ne fait de tort à +personne. Si vous écrivez un programme et que vous l'utilisez en privé, cela +ne fait pas de mal aux autres (il est vrai que vous perdez une occasion de +faire le bien, mais ce n'est pas la même chose que de faire le mal). Ainsi, +quand nous disons que le logiciel doit être libre, cela veut dire que chaque +exemplaire doit comporter les quatre libertés, mais cela ne veut pas dire +que quelqu'un a l'obligation de vous en proposer un exemplaire.</p> + +<h3>Logiciel non libre et <abbr title="Service as a Software +Substitute">SaaSS</abbr></h3> + +<p>Le logiciel non libre a été le premier moyen, pour les entreprises, de +prendre la main sur l'informatique des gens. De nos jours, il existe un +autre moyen, appelé « service se substituant au logiciel », ou SaaSS. Cela +équivaut à laisser quelqu'un d'autre effectuer vos propres tâches +informatiques.</p> + +<p>Le recours à un SaaSS n'implique pas que les programmes exécutés sur le +serveur soient non libres (même si c'est souvent le cas). Mais l'utilisation +d'un SaaSS et celle d'un programme non libre produisent les mêmes +injustices : ce sont deux voies différentes qui mènent à la même situation +indésirable. Prenez l'exemple d'un service de traduction SaaSS : +l'utilisateur envoie un texte au serveur ; celui-traduit le texte (disons, +de l'anglais vers l'espagnol) et renvoie la traduction à l'utilisateur. La +tâche de traduction est alors sous le contrôle de l'opérateur du serveur et +non plus de l'utilisateur.</p> + +<p>Si vous utilisez un SaaSS, l'opérateur du serveur contrôle votre +informatique. Cela nécessite de confier toutes les données concernées à cet +opérateur, qui sera à son tour obligé de les fournir à l'État. <a +href="/philosophy/who-does-that-server-really-serve.html">Qui ce serveur +sert-il réellement, en fin de compte ?</a></p> + +<h3>Injustices primaires et secondaires</h3> + +<p>Quand vous utilisez des logiciels privateurs ou des SaaSS, avant tout vous +vous faites du tort, car vous donnez à autrui un pouvoir injuste sur +vous. Il est de votre propre intérêt de vous y soustraire. Vous faites aussi +du tort aux autres si vous faites la promesse de ne pas partager. C'est mal +de tenir une telle promesse et c'est un moindre mal de la rompre ; pour être +vraiment honnête, vous ne devriez pas faire du tout cette promesse.</p> + +<p>Il y a des cas où l'utilisation de logiciel non libre exerce une pression +directe sur les autres pour qu'ils agissent de même. Skype en est un exemple +évident : quand une personne utilise le logiciel client non libre Skype, +cela nécessite qu'une autre personne utilise ce logiciel également, et par +là même que toutes deux abandonnent leur liberté (les Hangouts de Google +posent le même problème). La simple suggestion d'utiliser de tels programmes +est mauvaise. Nous devons refuser de les utiliser, même brièvement, même sur +l'ordinateur de quelqu'un d'autre.</p> + +<p>Un autre dommage causé par l'utilisation de programmes non libres ou de +SaaSS est que cela récompense leur coupable auteur et encourage le +développement du programme ou « service » concerné, ce qui conduit à leur +tour d'autres personnes à tomber sous la coupe de l'entreprise de +développement.</p> + +<p>Toutes les formes de dommage indirect sont amplifiées lorsque l’utilisateur +est une institution publique ou une école.</p> + +<h3>Logiciel libre et État</h3> + +<p>Les services publics existent pour les habitants et non pour +eux-mêmes. Lorsqu’ils utilisent l’informatique, ils le font pour les +habitants. Ils ont le devoir de garder un contrôle total sur leurs tâches +informatiques, afin de garantir leur bonne exécution au bénéfice des +habitants (cela constitue la souveraineté informatique de l'État). Ils ne +doivent jamais laisser ce contrôle tomber entre les mains du privé.</p> + +<p>Pour garder la maîtrise des tâches informatiques qu'ils effectuent au nom +des habitants, les agences et services publiques ne doivent pas utiliser de +logiciel privateur (logiciel qui est sous le contrôle d'une entité autre que +l'État). Ils ne doivent pas non plus les confier à un service programmé et +géré par une entité autre que l'État, puisque ce serait un SaaSS.</p> + +<p>Il y a une faille de sécurité essentielle dans le logiciel privateur : il +n'est pas du tout protégé contre une attaque venant de son développeur. Et +le développeur peut en aider d'autres à attaquer. <a +href="http://arstechnica.com/security/2013/06/nsa-gets-early-access-to-zero-day-data-from-microsoft-others/">Microsoft +montre les bogues de Windows à la NSA</a> (l'agence gouvernementale +américaine d'espionnage numérique) avant de les corriger. Nous ne savons pas +si Apple fait de même, mais cette société est soumise à la même pression du +gouvernement que Microsoft. Si le gouvernement d'un autre pays utilise un +tel logiciel, il compromet la sécurité nationale. Voulez-vous que la NSA +pénètre par effraction dans les ordinateurs de votre gouvernement ? Lisez +nos <a href="/philosophy/government-free-software.html">suggestions pour une +politique de promotion du logiciel libre au niveau du gouvernement</a>.</p> + +<h3>Logiciel libre et éducation</h3> + +<p>Les écoles (et ceci inclut toutes les activités éducatives) influencent le +futur de la société par l’intermédiaire de leur enseignement. Elles doivent +enseigner exclusivement le logiciel libre, afin de mettre cette influence au +service du bien public. Enseigner l’utilisation d’un programme non libre, +c’est implanter la dépendance à l’égard de son propriétaire, en +contradiction avec la mission sociale de l’école. En dispensant une +formation à l'utilisation du logiciel libre, les écoles orienteront l'avenir +de la société vers la liberté et aideront les programmeurs talentueux à +maîtriser leur art.</p> + +<p>En outre, elles enseigneront à leurs étudiants l'habitude de coopérer, +d'aider les autres. Chaque classe doit avoir la règle suivante : « Élèves et +étudiants, cette classe est un endroit où nous partageons nos +connaissances. Si vous apportez des logiciels, ne les gardez pas pour +vous. Au contraire, vous devez en partager des copies avec le reste de la +classe, de même que le code source du programme au cas où quelqu’un voudrait +s’instruire. En conséquence, apporter des logiciels privateurs en classe +n’est pas autorisé, sauf pour les exercices de rétroingénierie. »</p> + +<p>Si l'on en croit les développeurs de logiciel privateur, on devrait punir +les étudiants assez généreux pour partager leurs logiciels ou assez curieux +pour chercher à les modifier. Ce serait faire de la mauvaise éducation. Voir +dans <a href="/education/">http://www.gnu.org/education/</a> une discussion +plus poussée de l'usage des logiciels libres à l'école.</p> + +<h3>Le logiciel libre : plus que des « avantages »</h3> + +<p>On me demande souvent de décrire les « avantages » du logiciel libre. Mais +le mot « avantages » est trop faible quand il s’agit de liberté. La vie sans +liberté est une oppression, et cela s’applique à l’informatique comme à +toute autre activité de nos vies quotidiennes. Nous devons refuser de donner +aux développeurs des programmes, ou des services qui s'y substituent, la +maîtrise de nos tâches informatiques. Il faut le faire pour des raisons +égoïstes ; mais pas seulement pour des raisons égoïstes.</p> + +<p>L'une des libertés est celle de coopérer avec les autres. En empêchant les +gens de coopérer, on les maintient dans la division, point de départ d'une +machination ayant pour but de les opprimer. Dans la communauté du logiciel +libre, nous avons pleinement conscience de l'importance de la liberté de +coopérer, parce que notre travail consiste en une coopération organisée. Si +un ami vient chez vous et vous voit utiliser un programme, il se peut qu'il +vous en demande une copie. Un programme qui vous empêche de le redistribuer, +ou dit que « vous n'êtes pas censé le faire » est antisocial.</p> + +<p>En informatique, coopérer veut dire redistribuer des copies exactes d'un +programme à d'autres utilisateurs. Cela veut aussi dire leur distribuer vos +modifications. Le logiciel libre encourage ces formes de coopération, alors +que le logiciel privateur les interdit. Il interdit la redistribution de +copies et, en refusant le code source aux utilisateurs, les empêche de le +modifier. Le SaaSS a le même résultat : si vous faites une tâche +informatique sur le web, dans le serveur de quelqu'un d'autre, au moyen +d'une copie de programme qui appartient à quelqu'un d'autre, vous ne pouvez +ni voir ni toucher le logiciel qui fait cette tâche, donc vous ne pouvez ni +le distribuer ni le modifier.</p> + +<h3>Conclusion</h3> + +<p>Nous méritons de contrôler notre propre informatique. Comment y arriver ? En +refusant les logiciels privateurs sur les ordinateurs que nous possédons ou +utilisons au quotidien et en rejetant les SaaSS ; en <a +href="/licenses/license-recommendations.html">développant des logiciels +libres</a> (pour ceux d’entre nous qui sont programmeurs) ; en <a +href="/help/help.html">partageant ces idées avec les autres</a>.</p> + +<p>Nous le faisons depuis 1984, ainsi que des milliers d'utilisateurs ; c'est +pourquoi nous disposons maintenant du système d'exploitation libre GNU/Linux +que chacun, programmeur ou non, peut utiliser. Rejoignez notre cause, comme +programmeur ou activiste. Rendons la liberté à tous les utilisateurs de +l'informatique.</p> + +<div class="translators-notes"> + +<!--TRANSLATORS: Use space (SPC) as msgstr if you don't have notes.--> +<hr /><b>Notes de traduction</b><ol> +<li id="TransNote1"><cite>Free</cite> veut dire « libre », mais aussi +« gratuit ». <a href="#TransNote1-rev" class="nounderline">↑</a></li> +<li id="TransNote2">Autre traduction de <cite>proprietary</cite> : +propriétaire. <a href="#TransNote2-rev" class="nounderline">↑</a></li> +</ol></div> +</div> + +<!-- for id="content", starts in the include above --> +<!--#include virtual="/server/footer.fr.html" --> +<div id="footer"> +<div class="unprintable"> + +<p>Veuillez envoyer les requêtes concernant la FSF et GNU à <a +href="mailto:gnu@gnu.org"><gnu@gnu.org></a>. Il existe aussi <a +href="/contact/">d'autres moyens de contacter</a> la FSF. Les liens +orphelins et autres corrections ou suggestions peuvent être signalés à <a +href="mailto:webmasters@gnu.org"><webmasters@gnu.org></a>.</p> + +<p> +<!-- TRANSLATORS: Ignore the original text in this paragraph, + replace it with the translation of these two: + + We work hard and do our best to provide accurate, good quality + translations. However, we are not exempt from imperfection. + Please send your comments and general suggestions in this regard + to <a href="mailto:web-translators@gnu.org"> + + <web-translators@gnu.org></a>.</p> + + <p>For information on coordinating and submitting translations of + our web pages, see <a + href="/server/standards/README.translations.html">Translations + README</a>. --> +Nous faisons le maximum pour proposer des traductions fidèles et de bonne +qualité, mais nous ne sommes pas parfaits. Merci d'adresser vos commentaires +sur cette page, ainsi que vos suggestions d'ordre général sur les +traductions, à <a href="mailto:web-translators@gnu.org"> +<web-translators@gnu.org></a>.</p> +<p>Pour tout renseignement sur la coordination et la soumission des +traductions de nos pages web, reportez-vous au <a +href="/server/standards/README.translations.html">guide de traduction</a>.</p> +</div> + +<!-- Regarding copyright, in general, standalone pages (as opposed to + files generated as part of manuals) on the GNU web server should + be under CC BY-ND 4.0. Please do NOT change or remove this + without talking with the webmasters or licensing team first. + Please make sure the copyright date is consistent with the + document. 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