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rms-patents.html (18986B)


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     10 <title>Solutions du problème des brevets logiciels - Projet GNU - Free Software
     11 Foundation</title>
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     22 <div class="article reduced-width">
     23 <h2>Solutions du problème des brevets logiciels</h2>
     24 
     25 <address class="byline">par Richard Stallman</address>
     26 
     27 <div class="infobox">
     28 <p>Conférence donnée au Locatelli Center, Université de Santa Clara, en
     29 novembre 2012&nbsp; (<a
     30 href="//audio-video.gnu.org/video/keynote-what-is-the-problem.webm">vidéo</a>,
     31 &nbsp;<a href="//audio-video.gnu.org/video/#2012">métadonnées</a>)</p>
     32 </div>
     33 <hr class="thin" />
     34 
     35 <p><b>Andrew Chen :</b> Merci, Eric.</p>
     36 
     37 <p>Je m'appelle Andrew Chen. J'enseigne le droit des brevets à l'Université de
     38 Caroline du Nord et dans une vie antérieure j'étais professeur
     39 d'informatique théorique.</p>
     40 
     41 <p>J'ai le rôle le plus facile aujourd'hui : présenter deux personnes qui n'ont
     42 pas besoin de l'être. Richard Stallman, on le sait, est le fondateur du
     43 mouvement du logiciel libre, le cofondateur de la <i>League for Programming
     44 Freedom</i> (Ligue pour la liberté de programmer), l'architecte logiciel en
     45 chef du projet GNU et l'auteur d'Emacs, qu'il a défini comme un éditeur de
     46 texte mais aussi comme un mode de vie. Ce dont je conviens volontiers
     47 puisque j'ai écrit ma thèse en utilisant son programme.</p>
     48 
     49 <p>Dr Stallman a decidé de ne pas participer au streaming en direct
     50 aujourdhui. Il explique que l'utilisation du streaming en ligne requiert
     51 l'utilisation du plugin Silverlight de Microsoft, ce qui oblige les gens à
     52 utiliser un logiciel privateur. Dr Stallman considère qu'inciter les gens à
     53 faire ça n'est pas bien. Il voudrait que vous sachiez qu'il a l'intention,
     54 plus tard, de rendre disponible un enregistrement de sa présentation au
     55 format Ogg Theora ou WebM.</p>
     56 
     57 <p>Dr Stallman.</p>
     58 
     59 <p><i class="aside">[applaudissements]</i></p>
     60 
     61 <p><b>Richard Stallman :</b> S'il vous plaît, est-ce que les techniciens
     62 peuvent confirmer que la diffusion est coupée ?</p>
     63 
     64 <p>OK, je pense que c'est une confirmation.</p>
     65 
     66 <p>Pourquoi les brevets logiciels sont-ils mauvais ? Ou plutôt les « brevets
     67 sur des idées informatiques », comme à mon avis nous devrions vraiment les
     68 appeler. La plupart des gens, quand vous dites « brevets logiciels »,
     69 pensent qu'il est question de breveter un programme spécifique. Vous savez
     70 tous, j'en suis sûr, que ce n'est pas ce que font ces brevets, mais la
     71 plupart des gens ne le savent pas. Donc, pour essayer d'éviter les
     72 malentendus, je les appelle « brevets sur des idées informatiques ».</p>
     73 
     74 <p>Quoi qu'il en soit, la raison pour laquelle ils sont mauvais est qu'ils
     75 privent les gens de la liberté d'utiliser leurs ordinateurs comme ils
     76 l'entendent et d'effectuer leurs tâches informatiques comme ils le
     77 souhaitent, liberté que chacun doit posséder. Ces brevets sont un danger
     78 pour tous les développeurs de logiciel comme pour leurs utilisateurs et nous
     79 n'avons aucune raison de le tolérer. Aussi devons-nous protéger le logiciel
     80 contre les brevets. Le logiciel a certes besoin d'être protégé, mais c'est
     81 contre les brevets.</p>
     82 
     83 <p>Cependant la plupart des gens n'en savent pas assez sur les effets des
     84 brevets pour comprendre pourquoi les brevets qui restreignent les logiciels
     85 sont nocifs. La plupart des gens pensent que les brevets sont comme les
     86 copyrights, ce qui n'est pas vrai du tout. Tout ce qu'ils ont en commun
     87 tient dans une phrase de la Constitution et cette similarité est si ténue et
     88 si abstraite qu'elle n'a rien à voir avec leurs conséquences pratiques.</p>
     89 
     90 <p>Donc, la dernière des choses à faire est d'utiliser le terme « propriété
     91 intellectuelle », qui confond non seulement ces deux lois, mais un tas
     92 d'autres lois disparates et non apparentées qui n'ont même pas en commun une
     93 seule phrase de la Constitution avec les deux premières. Ce terme est source
     94 de confusion chaque fois qu'il est utilisé et il y a huit ans j'ai décidé
     95 que je ne devais plus l'employer ; je ne l'ai jamais utilisé depuis. Son
     96 usage est étonnamment facile à éviter, car en général on l'utilise pour la
     97 seule raison que c'est chic. Et une fois que vous avez appris à résister à
     98 ça, c'est facile comme bonjour ; vous vous contentez de parler d'une loi en
     99 particulier, vous l'appelez par son nom et vous faites une phrase cohérente
    100 et claire.</p>
    101 
    102 <p>Je dois expliquer aux gens les effets des brevets et leur montrer que ce ne
    103 sont pas du tout les mêmes que ceux des copyrights. Un bon moyen est de
    104 procéder par analogie. Qu'est-ce qu'on peut dire des programmes ? Eh bien,
    105 que ce sont des œuvres de grande envergure, avec un grand nombre d'éléments
    106 qui doivent tous interagir pour donner le résultat désiré. De quoi peut-on
    107 aussi dire ça ? D'un roman, d'une symphonie.
    108 
    109 Imaginez que les gouvernements européens du 18e siècle aient eu l'idée
    110 farfelue de promouvoir le progrès de la musique symphonique par un système
    111 de « brevets sur les idées musicales ». Toute idée musicale exprimable par
    112 des mots aurait ainsi pu être brevetée. Un motif mélodique aurait pu être
    113 breveté, ou bien une série d'accords, un schéma rythmique, un schéma de
    114 répétitions dans un mouvement, l'utilisation de certains instruments alors
    115 que le reste de l'orchestre ne joue pas et un tas d'autre idées musicales
    116 qui ne me viennent pas à l'esprit, mais qui viendraient peut-être à celui
    117 d'un compositeur.</p>
    118 
    119 <p>Imaginez maintenant qu'on est en 1800, que vous êtes Beethoven et que vous
    120 voulez écrire une symphonie. Vous vous rendez compte qu'il est plus
    121 difficile d'écrire une symphonie en ne risquant pas un procès que d'écrire
    122 une bonne symphonie. Vous vous en seriez sans doute plaint et les détenteurs
    123 des brevets auraient dit « Oh, Beethoven, tu es simplement jaloux parce que
    124 nous avons eu ces idées avant toi. Tu n'as qu'à chercher quelques idées bien
    125 à toi. »
    126 Beethoven est bien sûr considéré comme un grand compositeur parce qu'il a eu
    127 beaucoup d'idées nouvelles. Mais pas seulement ; il savait aussi les mettre
    128 en œuvre de manière effective, c'est-à-dire en les combinant avec beaucoup
    129 d'idées connues, de sorte que ses morceaux ne choquaient qu'au début mais
    130 qu'ensuite on s'y habituait. Ils n'étaient pas étranges et incompréhensibles
    131 au point de susciter le rejet. Ils choquaient le public pendant quelque
    132 temps, puis celui-ci s'y habituait et maintenant nous n'y voyons plus rien
    133 de choquant parce que nous sommes habitués à ces idées. Cela prouve qu'il
    134 les a bien utilisées.</p>
    135 
    136 <p>Donc l'idée que n'importe qui pourrait, ou devrait, réinventer la musique à
    137 partir de zéro est absurde. Même Beethoven ne pourrait le faire et il serait
    138 idiot de demander à quelqu'un d'essayer. C'est pareil en informatique. C'est
    139 comme une symphonie qui met en œuvre beaucoup d'idées musicales à la
    140 fois. Mais la difficulté n'est pas de choisir un tas d'idées, c'est de les
    141 mettre en œuvre toutes ensemble en utilisant des notes. C'est pareil avec le
    142 logiciel. Un grand programme va mettre en œuvre des milliers d'idées à la
    143 fois. Mais ce qui est difficile, ce n'est pas de choisir quelques idées,
    144 c'est de toutes les combiner et que ça fonctionne correctement.</p>
    145 
    146 <p>Les « brevets sur les idées informatiques » font obstacle à cette lourde et
    147 difficile tâche en promouvant des ressources que nous avons à profusion de
    148 toute manière. C'est donc un système mal conçu, qui prétend nous fournir une
    149 aide dont nous ne voulons pas, au prix d'énormes problèmes.</p>
    150 
    151 <p>Ce dont nous avons besoin est de nous débarrasser du problème. Quel est ce
    152 problème ? C'est que les brevets constituent une menace pour les
    153 développeurs et les utilisateurs. Ils les mettent en danger. Comment
    154 l'empêcher ? Eh bien, l'un des moyens est de ne pas délivrer de brevets
    155 portant sur les logiciels. Cela fonctionne si c'est appliqué dès le
    156 début. Si un pays n'a jamais délivré de tels brevets, son système de brevets
    157 ne menace pas le logiciel. OK, c'est une bonne solution. Mais elle n'est pas
    158 applicable si le pays a déjà délivré des centaines de milliers de brevets
    159 logiciels.</p>
    160 
    161 <p>J'ai proposé que les constitutions disposent explicitement que les
    162 privilèges des brevets puissent être réduits aussi bien qu'augmentés ;
    163 qu'ils ne soient en aucune façon la propriété de quelqu'un, mais des
    164 privilèges octroyés par le gouvernement et pouvant être modifiés à
    165 volonté. Après tout, si la loi permet au gouvernement de les augmenter, il
    166 est absurde d'en faire un cliquet à sens unique. Mais cela ne figure pas
    167 dans la Constitution des États-Unis.</p>
    168 
    169 <p>Alors, qu'est-ce qu'on peut faire ? On peut demander aux tribunaux de
    170 décider que tout brevet restreignant le logiciel était invalide depuis
    171 l'origine et l'a toujours été ; cela les élimine tous. Cependant, on ne peut
    172 pas faire du lobbying pour ça. On ne peut pas dire aux fonctionnaires
    173 « Faites ceci parce que nous voulons que vous le fassiez. »</p>
    174 
    175 <p>Si nous voulons une solution que nous puissions faire appliquer, qu'est-ce
    176 qu'il nous reste ? Eh bien, le seul moyen, à mon avis, est que le logiciel
    177 soit reconnu par la loi comme une « sphère de sécurité ». Si c'est du
    178 logiciel, on est en sécurité. Des circuits effectuant le même calcul
    179 seraient couverts par un brevet, mais si c'est du logiciel, alors on est en
    180 sécurité. Mais qu'est-ce que cela signifie « être du logiciel » ? Eh bien,
    181 c'est ce qui fonctionne sur une machine polyvalente, universelle. Donc on
    182 fait d'abord une machine universelle et ensuite on y insère le programme
    183 pour qu'il lui dise quoi faire. Si la seule fonction de la machine est
    184 d'être universelle, alors toute idée spécifique, brevetée, est implémentée
    185 par le programme.</p>
    186 
    187 <p>C'est à ça que je veux arriver et j'essaie de distinguer ce cas d'une
    188 affaire comme <cite>Diamond v. Diehr</cite> où il y avait un brevet pour un
    189 système, une méthode de vulcanisation. Son application nécessitait un
    190 ordinateur, mais également du matériel à usage spécifique, pas une machine
    191 polyvalente, universelle, et ce matériel à usage spécifique était essentiel
    192 à la mise en œuvre de la technique brevetée.
    193 En fait, ce n'était pas une technique logicielle. Et j'ai lu un article de
    194 Pamela Samuelson dont l'argument était que la <abbr title="Court of Appeals
    195 for the Federal Circuit">CAFC</abbr><a id="TransNote1-rev"
    196 href="#TransNote1"><sup>1</sup></a> avait détourné cette décision ; en gros,
    197 qu'elle s'était trompée dans l'ordre des quantificateurs.<a
    198 id="TransNote2-rev" href="#TransNote2"><sup>2</sup></a> La Cour suprême
    199 avait dit « le fait qu'il y a un ordinateur là-dedans ne le rend pas
    200 automatiquement non brevetable », et la CAFC avait déformé la phrase en
    201 « l'ordinateur le rend brevetable ».</p>
    202 
    203 <p>Quoi qu'il en soit, on pourrait peut-être fonder quelque espoir sur les
    204 tribunaux, mais je propose une méthode qui distinguera d'une part les cas
    205 que nous devons protéger, et d'autre part les brevets sur des idées non
    206 informatiques affectant des systèmes qui pourraient être mis en œuvre au
    207 moyen d'un ordinateur quelque part à l'intérieur. Quels mots précis
    208 utiliser ? Eh bien, ce que j'ai pu trouver de mieux était : « logiciel
    209 fonctionnant sur du matériel informatique d'usage général ». Nous voulons
    210 certainement que cela couvre des choses comme les smartphones ; nous ne
    211 voulons rien exclure qui contienne un quelconque matériel à usage
    212 spécifique.
    213 Le téléphone portable contient évidemment du matériel spécialisé permettant
    214 de parler au réseau téléphonique, mais cela ne doit pas signifier
    215 automatiquement que tout ce qui fonctionne sur un téléphone portable est
    216 vulnérable aux brevets, parce que le téléphone est un ordinateur polyvalent
    217 que les gens utilisent pour toutes sortes de choses. Mais ma formulation
    218 « matériel informatique d'usage général » n'est peut-être pas la
    219 meilleure. Cela à mon avis demande à être étudié, parce que nous devons
    220 examiner chaque formulation possible et voir quels cas seraient protégés
    221 contre les brevets et lesquels seraient exposés, pour arriver à la bonne
    222 méthode.</p>
    223 
    224 <p>Chaque fois que je suggère une méthode pour résoudre ce problème, la
    225 première chose que les gens essaient de chercher, c'est plutôt comment le
    226 résoudre à moitié. L'idée de résoudre le problème une fois pour toutes les
    227 choque parce qu'elle leur apparaît comme radicale. Ils pensent « Je ne peux
    228 pas militer pour quelque chose d'aussi radical qu'une solution vraiment
    229 complète de ce problème. Il faut que je cherche une solution partielle qui
    230 protégera seulement certains développeurs de logiciel. »
    231 Eh bien, c'est une erreur. C'est une erreur a) parce que cela ne ferait pas
    232 le travail complètement et b) parce que ce serait plus difficile à faire
    233 passer. Il y a beaucoup de développeurs de logiciel et ils sont tous
    234 menacés. Si nous proposons de les protéger tous, ils auront tous une raison
    235 de donner leur appui. Mais si nous proposons d'en protéger seulement
    236 quelques-uns, les autres diront « Cela ne me sert à rien, pourquoi m'y
    237 intéresser ? »</p>
    238 
    239 <p>Donc proposons une vraie solution. D'autant plus que les solutions
    240 partielles tendent à être vulnérables au problème que Boldrin et Levine ont
    241 très bien décrit, à savoir qu'il est facile aux groupes de pression
    242 favorables aux brevets de repousser la limite si vous leur donnez une limite
    243 quelconque à repousser. Ceci, incidemment, est un avantage supplémentaire en
    244 faveur d'un changement dans les procédures judiciaires contre les gens
    245 plutôt que dans ce qui est brevetable. Parce que là, le critère est
    246 seulement « Quel genre de situation a-t-on ici ? »
    247 
    248 C'est plus difficile d'élargir ce critère, et s'ils essayaient, ce serait
    249 toujours dans un litige contre quelqu'un qui se battra pour ne pas
    250 l'élargir. Il est ainsi moins vulnérable à une distorsion qui le ferait
    251 passer de la restriction de substance qui était visée à l'origine à une
    252 exigence de fait portant sur la forme des demandes de brevets, ce qui tend à
    253 se produire quel que soit le type d'exigence concernant ce qui doit figurer
    254 dans ces demandes.</p>
    255 
    256 <p>Bon, voilà.</p>
    257 
    258 <p><i class="aside">[applaudissements]</i></p>
    259 
    260 <p><b>Andrew Chen :</b> Merci, Dr Stallman.</p>
    261 </div>
    262 
    263 <div class="translators-notes">
    264 
    265 <!--TRANSLATORS: Use space (SPC) as msgstr if you don't have notes.-->
    266 <hr /><b>Notes de traduction</b><ol>
    267 <li><a id="TransNote1" href="#TransNote1-rev"
    268 class="nounderline">&#8593;</a> 
    269 Cour d'appel pour le circuit fédéral.</li>
    270 <li><a id="TransNote2" href="#TransNote2-rev"
    271 class="nounderline">&#8593;</a> 
    272 Voir le <a
    273 href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Calcul_des_pr%C3%A9dicats">calcul des
    274 prédicats</a>.</li>
    275 </ol></div>
    276 </div>
    277 
    278 <!-- for id="content", starts in the include above -->
    279 <!--#include virtual="/server/footer.fr.html" -->
    280 <div id="footer" role="contentinfo">
    281 <div class="unprintable">
    282 
    283 <p>Veuillez envoyer les requêtes concernant la FSF et GNU à &lt;<a
    284 href="mailto:gnu@gnu.org">gnu@gnu.org</a>&gt;. Il existe aussi <a
    285 href="/contact/">d'autres moyens de contacter</a> la FSF. Les liens
    286 orphelins et autres corrections ou suggestions peuvent être signalés à
    287 &lt;<a href="mailto:webmasters@gnu.org">webmasters@gnu.org</a>&gt;.</p>
    288 
    289 <p>
    290 <!-- TRANSLATORS: Ignore the original text in this paragraph,
    291         replace it with the translation of these two:
    292 
    293         We work hard and do our best to provide accurate, good quality
    294         translations.  However, we are not exempt from imperfection.
    295         Please send your comments and general suggestions in this regard
    296         to <a href="mailto:web-translators@gnu.org">
    297 
    298         &lt;web-translators@gnu.org&gt;</a>.</p>
    299 
    300         <p>For information on coordinating and contributing translations of
    301         our web pages, see <a
    302         href="/server/standards/README.translations.html">Translations
    303         README</a>. -->
    304 Merci d'adresser vos commentaires sur les pages en français à &lt;<a
    305 href="mailto:trad-gnu@april.org">trad-gnu@april.org</a>&gt;, et sur les
    306 traductions en général à &lt;<a
    307 href="mailto:web-translators@gnu.org">web-translators@gnu.org</a>&gt;. Si
    308 vous souhaitez y contribuer, vous trouverez dans le <a
    309 href="/server/standards/README.translations.html">guide de traduction</a>
    310 les infos nécessaires.</p>
    311 </div>
    312 
    313 <!-- Regarding copyright, in general, standalone pages (as opposed to
    314      files generated as part of manuals) on the GNU web server should
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    320      
    321      If you wish to list earlier years, that is ok too.
    322      Either "2001, 2002, 2003" or "2001-2003" are ok for specifying
    323      years, as long as each year in the range is in fact a copyrightable
    324      year, i.e., a year in which the document was published (including
    325      being publicly visible on the web or in a revision control system).
    326      
    327      There is more detail about copyright years in the GNU Maintainers
    328      Information document, www.gnu.org/prep/maintain. -->
    329 <p>Copyright &copy; 2016 Free Software Foundation, Inc.</p>
    330 
    331 <p>Cette page peut être utilisée suivant les conditions de la licence <a
    332 rel="license"
    333 href="http://creativecommons.org/licenses/by-nd/4.0/deed.fr">Creative
    334 Commons attribution, pas de modification, 4.0 internationale (CC BY-ND
    335 4.0)</a>.</p>
    336 
    337 <!--#include virtual="/server/bottom-notes.fr.html" -->
    338 <div class="translators-credits">
    339 
    340 <!--TRANSLATORS: Use space (SPC) as msgstr if you don't want credits.-->
    341 Traduction : Thérèse, Élodie, Thibaut et Mangeur de nuages<br /> Révision :
    342 <a href="mailto:trad-gnu&#64;april.org">trad-gnu&#64;april.org</a></div>
    343 
    344 <p class="unprintable"><!-- timestamp start -->
    345 Dernière mise à jour :
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