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free-world-notes.html (20834B)


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      9 <!-- This file is automatically generated by GNUnited Nations! -->
     10 <title>Notes sur le monde du Libre - Projet GNU - Free Software Foundation</title>
     11 
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     17 <div class="article reduced-width">
     18 <h2>Notes sur le monde du Libre</h2>
     19 
     20 <address class="byline">par Tom Hull <a id="hull-rev" href="#hull"><sup>[*]</sup></a></address>
     21 
     22 <div class="infobox">
     23 <p>Cette page contient des notes complétant le manifeste « <a
     24 href="/philosophy/free-world.html">Seul le monde du Libre peut tenir tête à
     25 Microsoft</a> ».</p>
     26 </div>
     27 <hr class="thin" />
     28 
     29 <p>
     30 Globalement, cette critique reflète une ligne de pensée plus générale, basée
     31 sur la réalisation que le manque d'efficacité et les arrière-pensées de nos
     32 modes actuels de production entraînent beaucoup de travail inutile pour
     33 produire des marchandises et des services dont le mérite n'est pas avéré
     34 pour des prix exagérément surestimés, effets qui diminuent notre qualité de
     35 vie et la valeur de notre travail. Néanmoins, la proposition que je fais ici
     36 n'est pas particulièrement radicale : elle ne conteste pas les principes de
     37 la propriété intellectuelle ; elle n'exige pas d'action politique (pas même
     38 l'application de la loi antitrust) ; elle peut être initiée par un petit
     39 groupe de gens, et dans une certaine mesure ne fait qu'élaborer sur un
     40 travail déjà effectué par différentes personnes et différents groupes.</p>
     41 
     42 <p>
     43 Notes sur chaque paragraphe :</p>
     44 
     45 <ol>
     46 <li>Les éditeurs de logiciel commercial divisent généralement leur budget en
     47 plusieurs secteurs : développement, fabrication, vente et marketing, service
     48 après vente, administration et services généraux. Les coûts de développement
     49 représentent d'habitude moins de 20% du chiffre d'affaires. Le coût le plus
     50 important, et de loin, est celui de la vente et du marketing. Donc, pour
     51 l'essentiel, le client paie les moyens de persuasion destinés à convaincre
     52 ce même client de payer très cher pour quelque chose qui coûte très peu à
     53 développer et pratiquement rien à reproduire et à livrer.<br/><br/></li>
     54 
     55 <li>Les logiciels les plus coûteux comprennent souvent un service après vente,
     56 qui devrait être imputé au budget vente/marketing tellement la structure de
     57 coût sur laquelle il repose est dispendieuse. Le service devrait être sur un
     58 budget séparé, indépendant du développement. Le logiciel libre est toujours
     59 livré sans service, et les clients qui en ont besoin peuvent obtenir de
     60 l'aide de manière indépendante, puisque le fonctionnement interne du
     61 logiciel est porté à la connaissance de tous.<br/><br/></li>
     62 
     63 <li>L'industrie des médias a des flux de trésorerie comparables, mais travaille
     64 nécessairement dans le cadre des standards techniques de leurs
     65 médias. Consommer leurs produits n'empêche ni ne décourage personne de
     66 consommer les produits concurrents.<br/><br/></li>
     67 
     68 <li>Microsoft aime à étendre son système d'exploitation pour tuer le marché des
     69 modules additionnels, par exemple pour la compression de disque et la
     70 gestion du réseau. L'affirmation de Microsoft qu'IE fait partie du système
     71 d'exploitation est infondée, cela saute aux yeux.<br/><br/></li>
     72 
     73 <li>La domination de Microsoft est due au moins en partie à l'absence de
     74 challenger significatif. Apple et IBM ont utilisé leurs systèmes
     75 d'exploitation pour enfermer leurs clients dans leur matériel, et de toute
     76 manière auraient été rejetés par le reste de l'industrie du PC, qui au moins
     77 avec Microsoft peut accéder au même produit. Les fournisseurs d'Unix se
     78 cantonnent avec ténacité dans des marchés haut de gamme où ils n'ont pas de
     79 concurrent direct, bien que NT vise directement à détruire Unix. Plus
     80 longtemps Microsoft restera sans concurrent sérieux, plus difficile ce sera
     81 de développer une telle concurrence.<br/><br/></li>
     82 
     83 <li>La dernière phrase comporte une légère exagération. Beaucoup de capitalistes
     84 réalisent très bien qu'ils ne seront jamais en position d'exercer la sorte
     85 de pouvoir que possède Microsoft, et par conséquent n'ont pas l'usage de la
     86 mégalomanie qui va avec ce pouvoir.<br/><br/></li>
     87 
     88 <li>Le principal, cependant, c'est que dans les circonstances actuelles aucun
     89 investisseur sain d'esprit ne défiera Microsoft. Dans le cas des autres
     90 industries, les défis à l'entreprise dominante reposent sur la découverte
     91 d'un avantage de coût significatif (par exemple le défi de MCI à AT&amp;T),
     92 mais ces avantages sont pratiquement impossibles avec le logiciel, à moins
     93 d'abandonner toute la marge d'exploitation, position qu'aucun investisseur
     94 ne prendra.<br/><br/></li>
     95 
     96 <li>Les lois antitrust servent plus à protéger les autres entreprises que les
     97 intérêts des consommateurs, bien qu'en général ces derniers tirent un
     98 avantage certain d'une concurrence accrue et plus équilibrée, au moins sur
     99 le long terme. À court terme, les consommateurs profitent peut-être plus
    100 d'une concurrence qui écrase les prix. Netscape, par exemple, qui a acquis
    101 une part de marché prépondérante dans sa niche, ne peut toujours pas
    102 augmenter ses prix à cause de la concurrence de Microsoft, ce qui en quelque
    103 sorte est une aubaine pour les consommateurs.<br/><br/></li>
    104 
    105 <li>Nous parlons beaucoup des avantages de « laisser le marché décider » mais la
    106 majeure partie de l'activité des entreprises a pour but de truquer le
    107 marché. Regardez n'importe quel business plan et sa section clé sera quelque
    108 chose comme « Faire barrage à la concurrence », parce que la concurrence
    109 élimine les profits et que les sociétés prospères sont celles qui évitent la
    110 concurrence, ou du moins sont en mesure de dicter ses conditions.<br/><br/></li>
    111 
    112 <li><p>Le point essentiel ici, c'est qu'un logiciel libre doit être d'une qualité
    113 et d'une utilité au moins égales à celles du logiciel commercial auquel il
    114 fait concurrence, ce qui veut dire qu'il doit être conçu, développé, testé
    115 et pris en charge de manière professionnelle. Par conséquent le logiciel
    116 libre doit dépasser largement sa niche actuelle, une activité de loisir pour
    117 universitaires, pour en arriver à un point où il sera soutenu par des
    118 organisations bien financées et pourra attirer des travailleurs de qualité
    119 et subvenir à leurs besoins.<br/></p>
    120 
    121 <p>Naturellement Microsoft (et tous les autres éditeurs de logiciel commercial
    122 ainsi menacés) feront leur possible pour concurrencer le logiciel libre, et
    123 on peut s'attendre à ce qu'ils soient aussi féroces qu'envers leurs autres
    124 concurrents. Ils mettront en circulation beaucoup d'arguments expliquant
    125 pourquoi le logiciel commercial est meilleur que le logiciel libre. Beaucoup
    126 de ces arguments sont des variantes de la fanfaronnade du vendeur prétendant
    127 qu'il peut vendre plus de billets de 10 $ à 20 $ pièce qu'un bonimenteur
    128 convainquant ne peut en distribuer. On peut contrer ce genre d'argument en
    129 faisant la démonstration que le logiciel libre est de qualité et se justifie
    130 d'un point de vue économique. Certains arguments sont plus solides : les
    131 éditeurs de logiciel commercial ont une avance énorme ; quelques-uns ont
    132 convaincu beaucoup d'utilisateurs de faire confiance à leur marque ; le coût
    133 réel du logiciel comprend le temps d'apprentissage et d'utilisation, aussi
    134 n'y a-t-il pas de logiciel vraiment gratuit ; l'investissement que les
    135 utilisateurs et les éditeurs ont placé dans le logiciel commercial peut
    136 rendre la migration difficile ; beaucoup de gens continuent à considérer le
    137 logiciel commercial comme une bonne affaire, dans un certain sens.</p>
    138 
    139 <p>
    140 Un point qu'il est nécessaire de reconnaître et de comprendre est que le
    141 logiciel libre, publié de manière ouverte sous forme de code source et
    142 examiné librement par toute personne qui y a intérêt ou souhaite le faire,
    143 mérite une confiance bien plus grande que le logiciel privateur, fermé et
    144 secret. J'ai trouvé entre autres que l'installation de Microsoft Internet
    145 Explorer est une expérience effrayante : l'ordinateur que je ne contrôle
    146 plus du tout, qui se reconfigure tout seul, qui se connecte aux propres
    147 sites de Microsoft, qui installe les préférences et les réglages par défaut
    148 déterminés par les machinations commerciales de Microsoft.</p>
    149 
    150 <p>
    151 Quelquefois je me demande si l'objectif sous-jacent de Microsoft n'est pas
    152 simplement de faire du monde un havre de paix pour les virus
    153 informatiques. Je ne suis pas spécialement paranoïaque, mais comment le
    154 savoir ?</p></li>
    155 
    156 <li><p>De nos jours, les consommateurs sont si souvent (et si efficacement) floués
    157 qu'ils ont beaucoup de réticence à payer pour quelque chose qu'ils peuvent
    158 se permettre de ne pas payer, donc les éduquer sera une bataille à
    159 contre-courant. C'est un problème de théorie des jeux : « Qui dois-je
    160 décider à payer pour un développement que je peux obtenir pour rien si je me
    161 contente d'attendre que quelqu'un d'autre le finance ? » Mais si chacun
    162 attend, personne n'en bénéficiera.<br/></p>
    163 <p>
    164 Il y a d'autres moyens de gérer ce niveau de financement, par exemple en
    165 mettant des taxes sur le matériel informatique (un peu comme la taxe sur
    166 l'essence est utilisée pour construire des routes) ou même sur les logiciels
    167 commerciaux (un peu comme la taxe sur les cigarettes sert à la santé
    168 publique). Les pays en voie de développement, en particulier, devraient
    169 soutenir le développement du logiciel libre car la notion de propriété
    170 intellectuelle doit leur apparaître comme un tribut de plus à payer aux
    171 riches. Ces approches nécessitent des efforts politiques qui seront sûrement
    172 contestés et entravés. J'aurais tendance à démarrer petit, de manière
    173 volontaire, pour voir jusqu'où la raison et la politesse nous mèneront.</p>
    174 <p>
    175 On doit souligner qu'il y a actuellement une quantité considérable de
    176 logiciel libre déjà écrit et disponible, et que de nombreux particuliers et
    177 organisations contribuent au développement, à la dissémination et au service
    178 du logiciel libre. Ce qui manque est une approche systématique de son
    179 financement de son développement, et un système fort et cohérent pour
    180 recueillir les commentaires et les directives des utilisateurs.</p></li>
    181 
    182 <li>J'estime qu'on peut développer du logiciel libre avec des standards de
    183 qualité au moins égaux à ceux du logiciel commercial pour moins de 25% du
    184 coût du logiciel commercial équivalent. Cette estimation est basée sur des
    185 dépenses de R&amp;D normales, augmentées d'une somme généreuse pour les
    186 organisations qui coordonnent le développement et promeuvent l'utilisation
    187 de logiciel libre. Étant donné que ce dernier n'est pas forcé de devenir
    188 obsolète (on peut continuer à l'utiliser tant qu'il est utile, alors que les
    189 produits commerciaux anciens doivent devenir obsolète pour promouvoir la
    190 vente des nouveaux), le coût du logiciel libre va diminuer avec le temps,
    191 fortement sauf dans les cas où de nouveaux besoins se feront jour.<br/><br/></li>
    192 
    193 <li><p>Une bonne partie de ce travail est déjà en cours. Ce qui manque n'est pas
    194 tellement les gens, ni même l'organisation, mais plutôt un sens cohérent des
    195 impératifs économiques. Jusqu'à présent, le logiciel libre a été animé par
    196 les sensibilités politiques et les traditions de liberté de l'université, ce
    197 qui l'a conduit dans un ensemble de domaines disparates, dont beaucoup n'ont
    198 que très peu d'impact sur les besoins et les usages courants (certains,
    199 comme le web, ont eu un impact majeur, et de ce fait ont énormément attiré
    200 l'attention du commerce). Cependant, la force qui anime le logiciel libre
    201 doit être économique : pourquoi dépensons-nous tant d'argent à faire grandir
    202 des empires quand tout ce que nous voulons, ce sont des programmes propres,
    203 simples, qui font ce que nous leur demandons ? Et pourquoi les professions
    204 du logiciel doivent-elles travailler pour les éditeurs de logiciel
    205 commercial quand leurs talents et leur travail sont immédiatement
    206 nécessaires aux utilisateurs ?<br/></p>
    207 <p>
    208 L'argument que les grandes organisations (le gouvernement, toute
    209 organisation qui dépense des sommes considérables en logiciel) devraient
    210 financer régulièrement le développement du logiciel libre est fort et bien
    211 ciblé. Même si cette organisation n'utilisait jamais de logiciel libre
    212 directement, son existence mettrait un frein sur les prix et donnerait un
    213 argument commercial de poids dans les négociations avec les fournisseurs de
    214 logiciel commercial. C'est un pari gagnant/gagnant : logiciel libre,
    215 logiciel moins cher, plus d'options, plus de concurrence.</p>
    216 <p>
    217 Il est parfaitement évident que les organisations du logiciel libre doivent
    218 viser l'international. Il semble probable que le soutien au logiciel libre
    219 viendra essentiellement de l'extérieur des États-Unis, peut-être dans une
    220 proportion écrasante.</p>
    221 <p>
    222 Cette proposition ne conteste pas les droits des détenteurs de propriété
    223 intellectuelle. Dans ce contexte, il devrait être possible d'acheter la
    224 technologie elle-même ou une licence d'exploitation suivant les besoins, et
    225 les inventeurs devraient envisager la possibilité de vendre leurs inventions
    226 au monde du Libre. Que les droits de propriété aient, ou non, la moindre
    227 utilité pratique pour encourager l'innovation est un autre débat.</p>
    228 <p>
    229 Par ailleurs, cette proposition n'essaie pas de se débarrasser de la
    230 motivation du profit dans le développement logiciel. Tel je le vois, la
    231 majeure partie du travail sur le logiciel libre serait fait par de petites
    232 sociétés soumissionnant à des appels d'offre, vraisemblablement avec
    233 l'intention de faire un bénéfice (les sociétés seront probablement petites
    234 parce qu'elles n'auront pas besoin de mettre sur pied une organisation
    235 importante de vente/marketing, qui est l'avantage principal des grandes
    236 sociétés sur les petites ; et aussi parce que les organisations constituant
    237 le réseau du logiciel libre devraient travailler à fournir les ressources
    238 partagées, telles que le capital et les services, ce qui éviterait aux
    239 petites sociétés de devoir aller au-delà de leurs moyens).</p>
    240 <p>
    241 Je prévois que le logiciel libre commencera par cibler les logiciels les
    242 plus basiques et les plus largement utilisés : il va de fait traire les
    243 « vaches à lait » de l'industrie du logiciel commercial, plutôt que tenter
    244 d'innover aux marges du développement (bien entendu, les innovateurs qui
    245 veulent contribuer seront les bienvenus). Outre le logiciel libre il y aura
    246 encore les partagiciels <i>[shareware]</i> et les produits commerciaux, qui
    247 dans une certaine mesure feront concurrence au logiciel libre et dans une
    248 mesure plus grande ouvriront de nouvelles niches dans lesquelles il n'y a
    249 pas encore de logiciel libre. L'industrie du logiciel libre servira de frein
    250 aux prix qui pourront être demandés. Elle aidera aussi à diminuer le coût de
    251 tout le développement logiciel et pourrait à terme fournir un marché de
    252 recyclage aux logiciels commerciaux abandonnés. Le partagiciel peut être un
    253 terreau fertile pour le développement logiciel expérimental, avec pour
    254 objectif de développer et de populariser de nouveaux produits qui pourront
    255 être cédés au marché libre.</p>
    256 <p>
    257 Enfin, je crois qu'aucune restriction ne doit être placée sur l'utilisation
    258 du logiciel libre : qu'il peut être réempaqueté, vendu, incorporé dans des
    259 produits commerciaux. Le logiciel libre réduira les coûts de développement
    260 du logiciel commercial, ce qui aidera à rendre ce dernier plus économique,
    261 meilleur, plus concurrentiel : que des bonnes choses. L'objectif, après
    262 tout, est d'avoir des logiciels meilleurs, plus faciles à utiliser et plus
    263 utiles ; la victoire ne se mesure pas au nombre de faillites. Le réflexe de
    264 mettre une barrière entre le logiciel libre et le logiciel commercial est
    265 voué à l'échec, parce que cela équivaut à isoler le logiciel libre du
    266 commerce. Nous vivons dans la jungle du commerce, dont personne ne peut
    267 s'abstraire quelle que soit la répugnance qu'elle inspire. Ce qui est
    268 proposé ici est d'initier, à petits pas délibérés et raisonnables, la
    269 réappropriation partielle de cette jungle pour l'usage et le mieux-être de
    270 chacun.</p></li>
    271 </ol>
    272 
    273 <p>Ceci implique, naturellement, que (d'après la démonologie de Reagan)
    274 Microsoft et coll. sont « l'Empire du Mal ». C'est une plaisanterie, bien
    275 sûr, mais elle ne serait pas drôle si elle ne comportait pas un soupçon de
    276 vérité.</p>
    277 
    278 <div class="infobox extra" role="complementary">
    279 <hr />
    280 <p><a id="hull" href="#hull-rev">[*]</a> Vous pouvez contacter Tom Hull à <a
    281 href="mailto:ftwalk@contex.com">&lt;ftwalk@contex.com&gt;</a>. Il est aussi
    282 l'auteur du langage de programmation Ftwalk, un langage de script fait de
    283 logiciel libre, disponible pour les systèmes Unix.</p>
    284 </div>
    285 </div>
    286 
    287 <div class="translators-notes">
    288 
    289 <!--TRANSLATORS: Use space (SPC) as msgstr if you don't have notes.-->
    290  </div>
    291 </div>
    292 
    293 <!-- for id="content", starts in the include above -->
    294 <!--#include virtual="/server/footer.fr.html" -->
    295 <div id="footer" role="contentinfo">
    296 <div class="unprintable">
    297 
    298 <p>
    299 Veuillez adresser vos questions et commentaires sur cette page particulière
    300 à Tom Hull <a href="mailto:ftwalk@contex.com">&lt;ftwalk@contex.com&gt;</a>.
    301 </p>
    302 
    303 <p>Veuillez envoyer les requêtes concernant la FSF et GNU à &lt;<a
    304 href="mailto:gnu@gnu.org">gnu@gnu.org</a>&gt;. Il existe aussi <a
    305 href="/contact/">d'autres moyens de contacter</a> la FSF. Les liens
    306 orphelins et autres corrections ou suggestions peuvent être signalés à
    307 &lt;<a href="mailto:webmasters@gnu.org">webmasters@gnu.org</a>&gt;.</p>
    308 
    309 <p>
    310 <!-- TRANSLATORS: Ignore the original text in this paragraph,
    311         replace it with the translation of these two:
    312 
    313         We work hard and do our best to provide accurate, good quality
    314         translations.  However, we are not exempt from imperfection.
    315         Please send your comments and general suggestions in this regard
    316         to <a href="mailto:web-translators@gnu.org">
    317 
    318         &lt;web-translators@gnu.org&gt;</a>.</p>
    319 
    320         <p>For information on coordinating and contributing translations of
    321         our web pages, see <a
    322         href="/server/standards/README.translations.html">Translations
    323         README</a>. -->
    324 Merci d'adresser vos commentaires sur les pages en français à &lt;<a
    325 href="mailto:trad-gnu@april.org">trad-gnu@april.org</a>&gt;, et sur les
    326 traductions en général à &lt;<a
    327 href="mailto:web-translators@gnu.org">web-translators@gnu.org</a>&gt;. Si
    328 vous souhaitez y contribuer, vous trouverez dans le <a
    329 href="/server/standards/README.translations.html">guide de traduction</a>
    330 les infos nécessaires.</p>
    331 </div>
    332 
    333 <!-- Regarding copyright, in general, standalone pages (as opposed to
    334      files generated as part of manuals) on the GNU web server should
    335      be under CC BY-ND 4.0.  Please do NOT change or remove this
    336      without talking with the webmasters or licensing team first.
    337      Please make sure the copyright date is consistent with the
    338      document.  For web pages, it is ok to list just the latest year the
    339      document was modified, or published.
    340      
    341      If you wish to list earlier years, that is ok too.
    342      Either "2001, 2002, 2003" or "2001-2003" are ok for specifying
    343      years, as long as each year in the range is in fact a copyrightable
    344      year, i.e., a year in which the document was published (including
    345      being publicly visible on the web or in a revision control system).
    346      
    347      There is more detail about copyright years in the GNU Maintainers
    348      Information document, www.gnu.org/prep/maintain. -->
    349 <p>Copyright &copy; 1997 Tom Hull</p>
    350 
    351 <p>Vous pouvez mettre ce document en lien ou le redistribuer par des moyens
    352 électroniques.</p>
    353 
    354 <!--#include virtual="/server/bottom-notes.fr.html" -->
    355 <div class="translators-credits">
    356 
    357 <!--TRANSLATORS: Use space (SPC) as msgstr if you don't want credits.-->
    358 Traduction : Thérèse Godefroy<br />Révision : <a
    359 href="mailto:trad-gnu&#64;april.org">trad-gnu&#64;april.org</a></div>
    360 
    361 <p class="unprintable"><!-- timestamp start -->
    362 Dernière mise à jour :
    363 
    364 $Date: 2021/09/10 09:02:15 $
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