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La tendance vers cet objectif peut être +vérifiée en regardant comment la presse se comporte envers les solutions +GNU/Linux, en observant comment plusieurs entités du monde éducatif +introduisent le logiciel libre dans les écoles et en vérifiant son +excellence technique habituelle.</p> + +<p>Aujourd'hui, en 1998 (oui, nous sommes encore en 1998 à l'heure où j'écris +ces lignes), ce qui reste de plus important à faire, à mon avis, est de +diffuser les implications sociales et commerciales du logiciel libre. Tout +en appréciant grandement l'article de Russel Nelson <cite>Open Source +Software Model</cite> (Modèle du logiciel open source) dans l'édition du +<cite><abbr title="Linux Journal">LJ</abbr></cite> de juillet, je ressens le +besoin d'approfondir les points qu'il a brièvement abordés.</p> + +<p>Veuillez noter que je ne suis expert ni en économie ni en politique. Je ne +suis qu'un technicien du genre « fais-le toi-même » dont les arguments sont +fondés sur sa propre expérience dans son combat pour la survie, dans +l'espoir d'aider quelqu'un d'autre à s'adapter aux nouvelles conditions de +son environnement. J'ai discuté de certaines de ces idées avec des amis ou +sur la liste de diffusion <cite>Free Software Business</cite><a +id="TransNote1-rev" href="#TransNote1"><sup>1</sup></a> (<a +href="mailto:fsb-subscribe@crynwr.com"><fsb-subscribe@crynwr.com></a>), +à laquelle je me suis inscrit après avoir lu l'article de Russell.</p> + +<h3 id="sec1">Viabilité pour les consultants individuels</h3> + +<p>La caractéristique la plus appréciable de tout système informatique est la +flexibilité, qui permet aux utilisateurs de modifier son comportement selon +ses propres besoins. Cette flexibilité est souvent complètement inconnue de +l'utilisateur lambda, parce que les solutions basées sur des logiciels +privateurs<a id="TransNote2-rev" href="#TransNote2"><sup>2</sup></a> ont +tendance à cacher les fonctionnalités derrière une interface externe rigide, +qui empêche toute déviation du comportement attendu, un comportement +d'<em>utilisateur</em>.</p> + +<p>En adoptant le logiciel libre, les utilisateurs deviennent capables de +découvrir la véritable puissance des systèmes informatiques. Aujourd'hui, +j'ai parlé avec un consultant commercial qui n'avait jamais pensé que des +logiciels pouvaient être adaptés aux besoins de chacun. Il m'a confié que sa +société a toujours fait le contraire : ils adaptent leurs besoins aux +logiciels qu'ils utilisent. La plupart des utilisateurs sont victimes de +leurs logiciels et ne s'en rendent même pas compte.</p> + +<p>Informer l'ensemble des utilisateurs du caractère extensible des logiciels +va ouvrir aux consultants indépendants de nouveaux marchés, en créant de +nouvelles opportunités d'emploi. Chaque utilisateur a des besoins +spécifiques, et trouver une solution à ces besoins veut souvent dire faire +appel à l'assistance technique de gens qui adaptent ou améliorent le +logiciel concerné. Alors que ceci n'est même pas imaginable avec les +logiciels privateurs, disposer du code source permet à tout problème qui +pourrait se poser d'être résolu rapidement, et à toute nouvelle +fonctionnalité d'être facilement ajoutée. Vous pourriez imaginer que ceci +conduirait rapidement à un paquet logiciel <em>parfait</em>, mais les +besoins individuels sont si divers et spécialisés qu'aucun paquet ne saurait +satisfaire tout le monde.</p> + +<p>Par exemple, avec d'autres, j'ai écrit un programme qui analyse les données +d'un certain type d'expériences, pour un centre local de physiologie. En +deux ans d'utilisation, les médecins ont trouvé tellement de façons +d'améliorer ce programme qu'il est désormais reconnu comme meilleur que les +solutions commerciales. Le montant total de toutes les dépenses qu'ils ont +effectuées pendant ces années révèle que le programme a finalement coûté +plus cher que certaines alternatives commerciales. Ce fait n'est pas +pertinent aux yeux de mes clients, puisqu'ils ont exactement ce qu'ils +veulent et qu'ils savent qu'ils peuvent obtenir davantage si le besoin s'en +fait sentir. Ce programme est bien entendu du logiciel libre, et d'autres +centres ont exprimé leur souhait d'en obtenir une copie.</p> + +<p>Alors que de plus en plus de gens choisissent le logiciel libre pour combler +leurs besoins, je suis certain que certaines sociétés de logiciels vont +tenter de diaboliser GNU/Linux, ainsi que le logiciel libre et les +mouvements open source, parce qu'ils perdent leur propre part de marché. De +telles sociétés vont probablement tenter de démontrer que l'emploi en +informatique diminue et que l'humanité est affectée par l'adoption globale +du logiciel libre. Tous ces arguments sont du bidon. Les ordinateurs sont +faits pour être programmés, et plus vous faites en sorte qu'ils soient +programmés, plus vous créez d'emplois. Si vous comptez le nombre de gens qui +offrent du conseil en logiciel libre, vous allez dépasser largement toute +diminution dans les sociétés de logiciel privateur. En reprenant mon exemple +précédent, le laboratoire de physiologie a engagé ma société pour écrire le +programme, et d'autres centres intéressés par le produit veulent employer un +consultant local pour l'installation, la maintenance et l'amélioration de +notre logiciel. J'ai dit « améliorer » ? Le programme ne fonctionne-t-il +pas ? Oui, il fonctionne bien, mais <em>il y a encore</em> de la marge pour +améliorer le produit. Le laboratoire local a décidé d'arrêter le +développement « parce que nous devons réaliser notre expérience plutôt que +d'inventer de nouvelles fonctionnalités logicielles ». Et comme chacun sait, +tout programme comporte des bogues et des fonctionnalités qui manquent. Et +c'est ici que nous construisons notre crédibilité : les bogues +<em>peuvent</em> être corrigés et les fonctionnalités <em>peuvent</em> être +mises en œuvre. Comme je le suggérais précédemment, plus vous rendez les +choses programmables, plus elles seront programmées.</p> + +<p>Pourquoi devrait-il y avoir plus d'opportunités d'emploi en informatique +qu'il n'en existe à l'heure actuelle ? Premièrement, parce que les +utilisateurs de logiciel libre demandent plus de nouvelles fonctionnalités +que les utilisateurs de produits privateurs, comme expliqué +ci-dessus. Ensuite, parce que chacun peut bâtir sa propre expérience +professionnelle sans devoir payer de tribut pour pouvoir accéder aux sources +d'information. J'ai bâti ma propre expertise en étudiant du code source et +en essayant des choses sur mon propre ordinateur bas de gamme. Maintenant, +je suis suffisamment confiant pour être capable de résoudre tous les +problèmes que pourraient rencontrer mes clients, et mes clients savent que +j'en suis capable (à condition que j'aie suffisamment de temps pour attaquer +le problème).</p> + +<p>Un autre point très important en plus de l'accessibilité au code source est +la standardisation des formats de fichier – un domaine où les produits +privateurs ont montré leurs pires caractéristiques. Imaginons un +environnement où tous les formats de fichiers du système sont connus. Vous +pourriez, par exemple, créer des index de tous les documents produits, +facilitant donc une récupération ultérieure. Ceci peut être accompli sans +être en ligne et sans charge de travail supplémentaire sur du personnel non +technique. La réutilisation asynchrone de données est de la science +futuriste pour de nombreux utilisateurs, parce qu'ils sont accoutumés aux +programmes qui utilisent des formats de fichiers privateurs (et aux systèmes +d'exploitation sans véritable système multitâche ni possibilité de faire +tourner des tâches « cron »<a id="TransNote3-rev" +href="#TransNote3"><sup>3</sup></a>). Dès que des standards libres seront +adoptés, les utilisateurs commenceront à demander des personnalisations et +voudront bien payer pour tout ce qui augmente leur productivité. De plus, +les standards libres garantissent que les clients ne font pas un mauvais +pari, puisqu'ils ne seront jamais coincés avec des données inutilisables en +cas de changement dans le marché du logiciel.</p> + +<p>Tandis que le modèle conventionnel de distribution de logiciel concentre +toute la connaissance dans quelques sociétés (ou même une seule d'entre +elles), les standards ouverts fournissent de l'information technique à qui +veut bien apprendre. Là où les produits privateurs n'ont l'expertise que +d'un nombre limité de consultants qualifiés (dont le nombre et la qualité +sont gérés de manière centralisée), le nombre de consultants qui ont +l'expertise d'une solution à base de logiciel libre est virtuellement +illimité ; et l'offre peut s'adapter rapidement à la demande.</p> + +<p>Dans un monde où les ordinateurs ne sont que de simples outils pour +accomplir d'autres tâches, une personnalisation simple et une maintenance +rapide sont des exigences de base des grands utilisateurs. À mon avis, Le +logiciel libre va bientôt acquérir le degré de crédibilité nécessaire pour +devenir un véritable phénomène de marché. Dès que vous commencez à faire +confiance à certains produits à base de logiciel libre, vous apprenez qu'ils +méritent plus encore. Les fans de GNU/Linux doivent être prêts à offrir de +l'assistance, de manière à combler le futur besoin de consultants.</p> + +<h3 id="sec2">Viabilité pour les sociétés de support</h3> + +<p>Évidemment, les consultants indépendants ne couvrent pas tous les besoins de +tous les utilisateurs. Plusieurs activités ne peuvent être prises en charge +par des particuliers. Red Hat et S.u.S.E. prouvent que créer et maintenir +une distribution peut être une bonne source de revenus, même quand le +produit est librement redistribuable. Les efforts basés sur Debian sont sur +la bonne voie, même si moins avancés – principalement parce que Red Hat et +S.u.S.E. mêlaient des produits privateurs aux logiciels libres pour survivre +lorsque la part de marché était faible, tandis que Debian a toujours été +complètement détachée des produits privateurs, et le reste.</p> + +<p>En plus de leurs tâches consistant à « créer et empaqueter » ou à +« rassembler et empaqueter », les sociétés peuvent se spécialiser dans le +support technique, couvrant les situations où les systèmes informatiques +sont d'une importance critique. La réalité des grosses sociétés utilisant +des systèmes informatiques dans leur environnement de production ne peut +être satisfaite ni par un consultant externe ni par un technicien +interne. Ils ont besoin de se fier à une structure externe qui garantisse le +fonctionnement 24h sur 24 de leurs aides technologiques.</p> + +<p>Même si l'on démontre que GNU/Linux ou d'autres systèmes d'exploitation sont +complètement fiables, les grands utilisateurs auront besoin de se fier à une +société de support comme forme d'assurance. Plus les ordinateurs sont +importants pour un environnement de production, plus les gens veulent payer +pour s'assurer que tout va continuer à fonctionner et pour pouvoir, en cas +d'incident, appeler une personne « responsable ». Un contrat de support pour +un grand utilisateur de ce type peut aussi inclure une clause de +remboursement en cas de non disponibilité. Les grosses sociétés de support +seront capables de gérer cela de manière efficace, et les clients seront +heureux de payer des primes élevées même s'ils n'ont jamais besoin d'appeler +à l'aide.</p> + +<p>En résumé, je ne vois nulle nécessité pour une société de logiciel de +conserver des droits exclusifs sur ses produits : la part du support est +suffisamment importante pour offrir de bonnes positions économiques dans +l'informatique. Ceux qui veulent être au sommet pourraient utiliser une +partie des revenus pour financer le développement de logiciel libre, +obtenant ainsi l'accès aux meilleurs logiciels avant tout le monde et +associant ainsi leur nom aux produits logiciels. En fait, cette pratique est +déjà suivie par les grosses distributions.</p> + +<h3 id="sec3">Viabilité pour les milieux éducatifs</h3> + +<p>Inutile de le dire, les écoles et universités ont le plus grand intérêt à +enseigner l'informatique en utilisant des outils de logiciel libre. Grâce à +leur supériorité technique, les environnements de logiciel libre ont plus à +offrir aux étudiants, mais nécessitent également plus de connaissances +techniques pour être administrés de manière compétente. Je ne vois pas +d'économies ici dans le fait de choisir les systèmes d'exploitation libres +plutôt que privateurs, mais les milieux éducatifs pourraient mieux utiliser +leur argent en embauchant des administrateurs système plutôt que de financer +une société de logiciels commerciaux déjà trop riche. Même si mon pays, +l'Italie, est coincé par des règles qui facilitent l'achat de matériel +plutôt que l'emploi de personnel, d'autres pays sont déjà sur la bonne +voie : le Mexique et la France, par exemple, ont annoncé des projets visant +à utiliser GNU/Linux dans leurs écoles publiques.</p> + +<p>Un point supplémentaire en faveur des logiciels libres dans l'éducation : +lorsque les étudiants accèdent à un emploi, ils préfèrent se servir des +outils qu'ils ont appris à utiliser à l'école, pour réduire les efforts +supplémentaires d'apprentissage. Ce fait seul doit conduire les écoles à +n'enseigner que les outils n'appartenant à personne – ceux qui sont +libres. Les écoles ne doivent enseigner un logiciel privateur que si deux +conditions sont réunies : aucune alternative viable n'est disponible et la +société qui distribue un tel logiciel <em>paie</em> l'école pour qu'elle +enseigne l'utilisation de ce produit. Acheter un produit à quelqu'un pour en +faire la publicité à sa place, c'est une complète absurdité.</p> + +<h3 id="sec4">Aspects de société</h3> + +<p>Un certain nombre d'aspects sociétaux sont liés aux choix d'un modèle de +logiciel plutôt qu'un autre. Même si je les considère comme sociétaux, ces +aspects ont également des implications économiques.</p> + +<p> +Même si le logiciel libre peut ne pas être meilleur marché que les logiciels +privateurs si vous facturez le temps que vous y passez, certains +environnements utilisent des rapports différents pour convertir le temps en +argent. La plupart des pays en voie de développement possèdent de bonnes +ressources intellectuelles et peu d'argent, et ils ont généralement aussi +beaucoup d'ordinateurs pas très neufs. Les systèmes d'exploitation +privateurs sont à des prix inabordables pour eux, mais les solutions libres +sont viables et productives. En fait, les « documents de Halloween » +confirment mon point de vue lorsqu'ils soulignent que « Linux » se répand +très rapidement dans les pays d'Extrême-Orient. Les organisations +humanitaires se situent habituellement dans un environnement identique : peu +de moyens financiers et des ressources humaines importantes. Ceci conduit +directement au modèle du logiciel libre pour tout besoin en informatique.</p> + +<p>Ces idées suggèrent sans doute que le libre accès à l'information a l'air +d'être une idée de gauche, tout comme l'expression « information pour les +masses » ressemble au vieil adage « le pouvoir aux masses ». Ce qui est +généralement ignoré, c'est le fort parfum de droite du mouvement du logiciel +libre. Le domaine du logiciel libre est fortement « méritocratique » et +c'est un environnement parfait pour la libre concurrence, où les lois de +marché assurent que seules les meilleures idées et les meilleurs joueurs +survivront. Les standards privateurs, d'un autre côté, tendent à restreindre +la concurrence en réduisant l'innovation et en consolidant les résultats +acquis.</p> + +<h3 id="sec5">Limites du modèle logiciel libre</h3> + +<p>Naturellement, je suis conscient que tous les paquets logiciels ne peuvent +pas facilement être transformés en logiciel libre. Je ne parle pas des +produits bureautiques ; je suis confiant dans le fait que de bons projets +combleront ce manque, tôt ou tard.</p> + +<p>Je parle plutôt de tous les environnements où existe une forte concurrence +pour un produit peu dépendant de son composant logiciel. Par exemple, un +équipement industriel peut comporter un ordinateur et un peu de matériel +approprié (un robot, un périphérique d'entrée/sortie spécialisé, des <abbr +title="Programmable logic controller">PLC</abbr>,<a id="TransNote4-rev" +href="#TransNote4"><sup>4</sup></a> etc.) ; l'application logicielle +hébergée sur l'ordinateur est une partie minoritaire de l'ensemble, mais ses +fonctionnalités déterminent grandement la valeur globale de +l'équipement. Produire et déboguer de telles applications demandent la +plupart du temps des investissements considérables ; empêcher la libre +redistribution du code source représente alors une forme de protection +contre la concurrence.</p> + +<p>Un autre exemple significatif est celui des téléphones portables. Ils +incluent beaucoup de logiciel, même si ce dernier est quasiment invisible à +l'utilisateur final, qui perçoit l'appareil comme un téléphone et non comme +un ordinateur. Ce logiciel est le composant qui définit les capacités +globales de l'appareil. À cause de son rôle fonctionnel essentiel dans +l'appareil, il est strictement privateur.</p> + +<p>Malheureusement, je ne vois pas de moyen facile pour libérer ce type de +code. Même si je ne me tracasse pas trop à propos des téléphones portables +(je ne les utilise pas :-)), je souhaiterais vraiment voir des applications +industrielles libres, parce que leur contenu technologique vaut généralement +la peine d'être réutilisé et adapté à de nouveaux problèmes.</p> + +<hr /> +<p>Alessandro crée des logiciels libres pour vivre et considère comme sa +mission de plaider pour le logiciel libre. Il espère que son enfant à naître +restera à l'écart des ordinateurs, en se rappelant le bon vieux temps où ces +animaux étaient confinés dans leurs zoos techniques. Il lit les courriels +adressés à <a href="mailto:rubini@gnu.org"><rubini@gnu.org></a> et +essaie de répondre à tout le monde.</p> + +<p>Reproduit avec la permission du <em>Linux Journal</em>.</p> + +<div class="translators-notes"> + +<!--TRANSLATORS: Use space (SPC) as msgstr if you don't have notes.--> +<hr /><b>Notes de traduction</b><ol> +<li id="TransNote1">Entreprises du logiciel libre. <a href="#TransNote1-rev" +class="nounderline">↑</a></li> +<li id="TransNote2">Autre traduction de <cite>proprietary</cite> : +propriétaire. <a href="#TransNote2-rev" class="nounderline">↑</a></li> +<li id="TransNote3">Tâches programmées à heure fixe. <a +href="#TransNote3-rev" class="nounderline">↑</a></li> +<li id="TransNote4">Contrôleur logique programmable. <a +href="#TransNote4-rev" class="nounderline">↑</a></li> +</ol></div> +</div> + +<!-- for id="content", starts in the include above --> +<!--#include virtual="/server/footer.fr.html" --> +<div id="footer"> +<div class="unprintable"> + +<p>Veuillez envoyer les requêtes concernant la FSF et GNU à <a +href="mailto:gnu@gnu.org"><gnu@gnu.org></a>. Il existe aussi <a +href="/contact/">d'autres moyens de contacter</a> la FSF. Les liens +orphelins et autres corrections ou suggestions peuvent être signalés à <a +href="mailto:webmasters@gnu.org"><webmasters@gnu.org></a>.</p> + +<p> +<!-- TRANSLATORS: Ignore the original text in this paragraph, + replace it with the translation of these two: + + We work hard and do our best to provide accurate, good quality + translations. However, we are not exempt from imperfection. + Please send your comments and general suggestions in this regard + to <a href="mailto:web-translators@gnu.org"> + + <web-translators@gnu.org></a>.</p> + + <p>For information on coordinating and submitting translations of + our web pages, see <a + href="/server/standards/README.translations.html">Translations + README</a>. --> +Nous faisons le maximum pour proposer des traductions fidèles et de bonne +qualité, mais nous ne sommes pas parfaits. Merci d'adresser vos commentaires +sur cette page, ainsi que vos suggestions d'ordre général sur les +traductions, à <a href="mailto:web-translators@gnu.org"> +<web-translators@gnu.org></a>.</p> +<p>Pour tout renseignement sur la coordination et la soumission des +traductions de nos pages web, reportez-vous au <a +href="/server/standards/README.translations.html">guide de traduction</a>.</p> +</div> + +<!-- Regarding copyright, in general, standalone pages (as opposed to + files generated as part of manuals) on the GNU web server should + be under CC BY-ND 3.0 US. Please do NOT change or remove this + without talking with the webmasters or licensing team first. + Please make sure the copyright date is consistent with the + document. For web pages, it is ok to list just the latest year the + document was modified, or published. + + If you wish to list earlier years, that is ok too. + Either "2001, 2002, 2003" or "2001-2003" are ok for specifying + years, as long as each year in the range is in fact a copyrightable + year, i.e., a year in which the document was published (including + being publicly visible on the web or in a revision control system). + + There is more detail about copyright years in the GNU Maintainers + Information document, www.gnu.org/prep/maintain. --> +<p>Copyright © 1998, 1999, 2000, 2001 Alessandro Rubini</p> + +<p>La reproduction exacte et la redistribution intégrale de cet article sont +permises sur n'importe quel support d'archivage, pourvu que le présent avis +et l'avis de copyright soient conservés. +</p> + +<!--#include virtual="/server/bottom-notes.fr.html" --> +<div class="translators-credits"> + +<!--TRANSLATORS: Use space (SPC) as msgstr if you don't want credits.--> +Traduction : Christophe Chisogne.<br /> Révision : <a +href="mailto:trad-gnu@april.org">trad-gnu@april.org</a></div> + +<p class="unprintable"><!-- timestamp start --> +Dernière mise à jour : + +$Date: 2018/10/27 13:58:17 $ + +<!-- timestamp end --> +</p> +</div> +</div> +</body> +</html> |