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Qu'est-ce +qui vous a conduit à passer autant de temps sur les libertés liées aux +logiciels ? +</dt> + +<dd> +Tout d'abord, élevé aux États-Unis dans les années 1960, j'ai certainement +été exposé aux idées de liberté, puis dans les années 1970 au MIT, j'ai +travaillé comme membre d'une communauté de programmeurs qui coopéraient et +réfléchissaient sur la signification éthique et sociale de cette +coopération. Quand cette communauté s'est éteinte au début des années 1980, +le monde du logiciel privateur,<a id="TransNote1-rev" +href="#TransNote1"><sup>1</sup></a> auquel la plupart des utilisateurs +d'ordinateurs de cette époque contribuaient, ne m'inspirait par contraste +que du dégoût moral. J'ai donc décidé d'essayer de recréer une communauté +guidée par la coopération. J'ai réalisé que tout ce que m'apporterait une +vie de compétition axée sur le contrôle des autres (c'est ça, l'univers du +logiciel non libre), c'est de l'argent ; j'aurais une vie que je +détesterais. +</dd> + +<dt> +Pensez-vous que le mouvement du logiciel libre, ou certaines de ses parties, +pourraient tirer, ou tirent, profit de collaborations avec d'autres +mouvements sociétaux ? +</dt> + +<dd> +Je ne vois pas beaucoup de bénéfice direct pour le logiciel libre +lui-même. D'un autre côté, nous voyons des partis politiques embrasser la +cause du logiciel libre, parce que cela s'accorde avec les idées de liberté +et de coopération qu'ils défendent généralement. Ainsi, en ce sens, nous +commençons à assister à une contribution d'autres mouvements aux idées du +logiciel libre. +</dd> + +<dt> +Avez-vous pensé que le mouvement du logiciel libre est essentiel aux +mouvements d'opposition à travers le monde qui s'opposent à la domination +des entreprises, au militarisme, au capitalisme, etc. ? +</dt> + +<dd> +Nous ne sommes pas du tout contre le capitalisme, nous sommes contre le fait +de mettre sous contrôle les utilisateurs de l'informatique, contre une +certain type de pratique commerciale. Il y a des entreprises, à la fois +grandes et petites, qui distribuent du logiciel libre et qui contribuent au +logiciel libre. Nous les invitons cordialement à l'utiliser, à en vendre des +copies, et nous les remercions de contribuer. Néanmoins, le logiciel libre +est un mouvement contre la domination, pas nécessairement contre la +domination des entreprises, mais contre toute forme de domination. Les +utilisateurs de logiciels ne doivent pas être dominés par les développeurs, +que ces développeurs soient des entreprises, des particuliers, des +universités ou autres. +Les utilisateurs ne doivent pas être maintenus divisés et démunis. Et cela, +c'est ce que fait le logiciel non libre ; il maintient les utilisateurs +divisés et démunis. Divisés, car il vous est interdit de partager des copies +avec quiconque, et démunis, parce que le code source ne vous est pas +fourni. Vous ne pouvez même pas dire ce que fait le programme, sans parler +de le modifier. Ainsi, il y a sans aucun doute un rapport. Nous travaillons +contre la domination par les développeurs de logiciels. Beaucoup de ces +développeurs sont des entreprises, et quelques grosses entreprises exercent +une forme de domination à travers le logiciel non libre. +</dd> + +<dt> +Les développeurs de logiciel libre pourraient-ils fournir une infrastructure +technique à ces mouvements qu'il ne serait pas possible de développer en +utilisant des logiciels privateurs, ces derniers étant en effet trop chers +et enfermés dans un modèle idéologique qui reflète les intérêts du système +mondial dominant, basé sur la marchandisation, l'exploitation, le contrôle +et la surveillance plutôt que sur le partage, la justice, la liberté et la +démocratie ? +</dt> + +<dd> +Aujourd'hui, je n'irais pas jusqu'à dire que le logiciel non libre ne +pourrait pas être utilisable par les mouvements d'opposition, parce que +beaucoup d'entre eux l'utilisent. C'est contraire à l'éthique d'utiliser du +logiciel non libre. Parce que… Du moins c'est contraire à l'éthique +d'en utiliser des copies licites, mais quelle que soit la copie, ce n'est +pas une bonne chose. Vous voyez, pour utiliser une copie licite, il faut +accepter de ne pas partager avec d'autres personnes ; en soi, c'est un acte +contraire à l'éthique, qu'on doit refuser. C'est la raison fondamentale pour +laquelle j'ai lancé le mouvement du logiciel libre. Je voulais faciliter le +refus d'un acte contraire à l'éthique, accepter la licence d'un logiciel non +libre. +Si vous utilisez une copie illicite, alors vous n'avez pas accepté cela, +vous n'avez pas commis cet acte contraire à l'éthique. Mais vous êtes +toujours… vous êtes condamné à vivre caché. Et vous n'êtes toujours +pas en mesure d'obtenir le code source, aussi ne pouvez-vous pas dire à coup +sûr ce que font ces programmes. Et ils pourraient, de fait, exercer une +surveillance. On m'a dit qu'au Brésil, l'utilisation de copies illicites +était utilisée en pratique comme argument pour mettre en prison les +activistes du mouvement des travailleurs ruraux sans terre, qui depuis a +migré vers le logiciel libre pour échapper à ce danger. Ils ne pouvaient +bien sûr s'offrir de copies licites des logiciels. Ainsi, ces choses ne sont +pas en droite ligne l'une de l'autre, mais il y a un parallèle et une +relation croissante entre elles. +</dd> + +<dt> +La grosse entreprise, en tant que forme sociale, est très fermée : elle ne +rend de comptes à personne hormis à ses actionnaires, par exemple un petit +groupe de personnes qui ont de l'argent, et son organisation bureaucratique +interne est presque aussi démocratique qu'un soviet. Est-ce que +l'implication croissante d'entreprises dans le logiciel libre vous apparaît +comme quelque chose d'inquiétant ? +</dt> + +<dd> +Pas directement. Parce que tant qu'un programme est un logiciel libre, cela +veut dire que l'utilisateur n'est pas contrôlé par ses développeurs, que ces +développeurs soient de grosses entreprises, de petites entreprises, quelques +particuliers ou n'importe quoi d'autre. Tant que le logiciel est libre, ils +ne contrôlent pas les gens. Cependant, la plupart des utilisateurs de +logiciels libres ne les perçoivent pas en termes éthiques ou sociaux. Il +existe un mouvement très efficace et très important appelé le mouvement open +source, qui a été conçu spécialement pour détourner l'attention des +utilisateurs de ces questions éthiques et sociales tout en parlant de notre +travail. Et ils ont tout à fait réussi ; il y a de nombreuses personnes qui +utilisent les logiciels libres que nous avons développés au nom de la +liberté et de la coopération, et qui n'ont jamais entendu parler des raisons +pour lesquelles nous l'avons fait. Ceci affaiblit notre communauté. + +C'est comme une nation qui est libre mais dont la plupart des membres n'ont +jamais appris à attacher de l'importance à la liberté. Ils sont en situation +de vulnérabilité parce que si vous leur disiez « Abandonnez votre liberté et +je vous donne cette chose de valeur », ils pourraient dire « oui » parce +qu'ils n'ont jamais appris pourquoi ils doivent dire « non ». Vous +rapprochez cela des entreprises qui pourraient vouloir retirer aux gens leur +liberté et empiéter progressivement sur elle, et vous obtenez une +vulnérabilité. Et ce que nous constatons, c'est que nombre d'entreprises de +développement et de distribution de logiciel libre l'empaquettent avec du +logiciel non libre qui met l'utilisateur sous contrôle, tout en disant que +ce logiciel dominateur est un bonus qui améliore le système. Si vous n'avez +pas appris à attacher de la valeur à la liberté, vous ne voyez aucune raison +de ne pas les croire. +Mais ceci n'est pas un problème nouveau et il ne se limite pas aux grandes +entreprises. Dans les 7 ou 8 dernières années, tous les distributeurs +commerciaux du système GNU/Linux ont pris l'habitude d'inclure du logiciel +non libre dans leurs distributions. C'est une chose contre laquelle j'ai +essayé de lutter de différentes manières, sans beaucoup de succès. Mais, en +réalité, même les distributeurs non commerciaux du système d'exploitation +GNU+Linux ont inclus et distribué du logiciel non libre. Ce qui est triste +c'est que, parmi les nombreuses distributions, il n'y en avait jusqu'à +récemment aucune que je pouvais recommander. Aujourd'hui, j'en connais une +que je peux recommander ; elle s'appelle « Ututo-e » et vient +d'Argentine. J'espère pouvoir en recommander une autre très prochainement. +</dd> + +<dt> +Pourquoi les croyances plus orientées « technique » du mouvement open source +ne sont-elles pas suffisantes pour vous ? +</dt> + +<dd> +Le mouvement open source a été créé spécialement pour se débarrasser du +fondement éthique du mouvement du logiciel libre. Le mouvement du logiciel +libre se fonde sur le jugement éthique que le logiciel non libre est +antisocial, que c'est faire du tort aux autres. Je suis arrivé à cette +conclusion avant de commencer à développer le système GNU. J'ai développé le +système GNU spécialement pour créer une alternative à une manière d'utiliser +le logiciel contraire à l'éthique. Quand quelqu'un vous dit « Vous pouvez +avoir ce logiciel sympa, mais seulement si vous signez une promesse que vous +ne le partagerez avec personne », on vous demande de trahir le reste de +l'humanité. Et je suis arrivé à la conclusion, au début des années 1980, que +c'était mal et que c'était faire du tort aux gens. Mais il n'y avait pas +d'autre moyen d'utiliser un ordinateur moderne. +Tous les systèmes d'exploitation réclamaient une trahison de cette sorte +avant que vous ne puissiez en obtenir une copie. Et c'était pour obtenir un +binaire exécutable. Vous ne pouviez pas du tout obtenir le code. Le binaire +exécutable est juste une suite de nombres, de laquelle même un programmeur a +du mal à dégager du sens. Le code source ressemble à des mathématiques, et +si vous avez appris la programmation, vous êtes capable de le lire. Mais, +après avoir signé la trahison, vous ne pouviez même pas obtenir cette forme +intelligible. Tout ce que vous pouviez obtenir, c'était les nombres dénués +de sens que seuls les ordinateurs peuvent comprendre. +C'est pourquoi j'ai décidé de créer une alternative, c'est-à-dire un autre +système d'exploitation, un système qui n'aurait pas ces exigences contraires +à l'éthique ; un système que vous pourriez obtenir sous forme de code +source, de sorte que si vous décidiez d'apprendre la programmation vous +puissiez le comprendre. Vous l'obtiendriez sans trahir les autres et vous +seriez libre de le communiquer à d'autres personnes – libre, soit d'en +donner des copies, soit de les vendre. Alors j'ai commencé à développer le +système GNU, qui au début des années 1980 constituait la plus grande partie +de ce que les gens ont, par erreur, commencé à appeler Linux. Ainsi donc, +tout cela existe grâce au refus, par souci éthique, de s'accommoder d'une +pratique antisociale. Mais cela est sujet à controverse. + +<p>Dans les années 1990, alors que le système GNU+Linux devenait populaire et +parvenait à avoir des millions d'utilisateurs, beaucoup étaient des +techniciens avec des œillères techniques qui ne voulaient pas regarder les +choses en termes de bien et de mal, mais seulement en termes d'efficacité et +d'inefficacité. Ainsi, ils commencèrent à dire à beaucoup d'autres : voilà +un système très fiable, très puissant, qui est cool et passionnant et que +vous pouvez avoir à bon marché. Et ils ne mentionnaient pas que cela vous +permettait d'éviter une trahison, contraire à l'éthique, du reste de +l'humanité. Que cela vous permettait d'éviter d'être maintenus divisés et +démunis. +Ainsi, il y avait de nombreuses personnes qui utilisaient le logiciel libre +mais n'avaient jamais entendu parler de ces idées, entre autres des gens qui +étaient dans les affaires et dont l'approche de la vie était dénuée de +morale. Aussi, quand quelqu'un a proposé le terme d'« open source », ils se +sont rués dessus pour en faire un moyen d'enterrer ces considérations +d'éthique. Ils ont le droit de promouvoir leur point de vue, mais je ne le +partage pas. C'est pourquoi je refuse à jamais de faire quoi que ce soit +sous le vocable « open source » et j'espère que vous ferez de même, vous +aussi.</p> +</dd> + +<dt> +Étant donné qu'il aide les utilisateurs à comprendre les libertés liées au +logiciel libre en clarifiant l'utilisation ambiguë du mot <cite>free</cite> +en anglais,<a id="TransNote2-rev" href="#TransNote2"><sup>2</sup></a> que +pensez-vous de l'utilisation du terme « FLOSS » pour <cite>Free/Libre Open +Source Software</cite> (logiciel libre et open source) ? +</dt> + +<dd> +Il y a beaucoup de gens qui, par exemple, désirent étudier notre communauté +ou écrire sur notre communauté, et qui évitent de prendre parti pour le +mouvement du logiciel libre ou le mouvement open source. Souvent, ils ont +d'abord entendu parler du mouvement open source et ils pensent que nous le +soutenons tous. Je leur montre qu'en fait notre communauté a été créée par +le mouvement du logiciel libre. Mais alors, ils répondent souvent qu'ils ne +s'intéressent pas à ce genre de désaccord et qu'ils aimeraient faire +référence aux deux mouvements sans prendre parti. Alors je leur recommande +le terme <cite>Free/Libre Open Source Software</cite> comme un moyen de +faire référence aux deux mouvements en leur donnant un poids équivalent, et +de ne recourir au terme FLOSS qu'après en avoir donné la signification. Je +pense que… Si vous ne voulez pas prendre parti entre les deux +mouvements, alors oui, bien sûr, utilisez ce terme. Ce que j'espère, c'est +que vous prendrez parti pour le mouvement du logiciel libre, mais tout le +monde n'y est pas obligé. Ce terme est légitime. +</dd> + +<dt> +Êtes-vous heureux du développement de la communauté qui est issue de votre +idée de système d'exploitation libre ? Dans quelle mesure s'est-elle +développée différemment de ce que vous aviez imaginé au début ? +</dt> + +<dd> +Eh bien, dans l'ensemble, j'en suis assez content. Mais il y a bien sûr des +choses qui ne me plaisent pas, essentiellement un point faible : un grand +nombre de gens de la communauté ne considèrent pas le logiciel libre sous +l'angle de la liberté, ils n'ont pas appris à attacher de l'importance à +leur liberté ni même à la reconnaître. Cela rend notre survie +incertaine. Cela nous affaiblit. Et, ainsi, alors que nous sommes confrontés +à des menaces variées, cette faiblesse rend notre réponse difficile. Notre +communauté pourrait être anéantie par les brevets logiciels. Elle pourrait +être anéantie par l'informatique déloyale. Elle pourrait être anéantie +simplement par le refus des fabricants de matériel de nous communiquer assez +d'informations sur la manière d'utiliser le matériel, ce qui ferait que nous +ne pourrions plus écrire de logiciels libres pour piloter ce matériel. +Il y a de nombreux points faibles que nous avons sur le long terme. Pour +survivre à ces menaces, nous devons faire différentes choses, mais dans tous +les cas, plus nous sommes conscients, plus nous sommes motivés, plus il nous +sera facile de faire ce qu'il faut. Ainsi, la chose la plus fondamentale que +nous devons reconnaître et mettre en valeur sur le long terme, c'est la +liberté qu'apporte le logiciel libre, de manière que les utilisateurs se +battent pour leur liberté comme les gens se battent pour la liberté +d'expression, la liberté de la presse, la liberté de réunion, parce que ces +libertés sont elles aussi grandement menacées dans le monde aujourd'hui. +</dd> + +<dt> +Qu'est-ce qui, selon vous, menace le développement du logiciel libre +aujourd'hui ? +</dt> + +<dd> +Je dois souligner que notre but n'est pas précisément de croître. Notre but +est de libérer le cyberespace. Cela signifie libérer tous les utilisateurs +de l'informatique. Nous espérons qu'au final ils opteront tous pour le +logiciel libre, mais nous ne devons pas considérer le simple succès comme +notre but, ce serait manquer la question ultime. Mais si j'entends la +question comme « Qu'est-ce qui entrave le développement du logiciel +libre ? », eh bien, en partie c'est l'inertie, l'inertie sociale. Beaucoup +de gens ont appris à utiliser Windows et n'ont pas encore appris à utiliser +GNU/Linux. Ce n'est plus très difficile d'apprendre GNU/Linux. Il y a +cinq ans c'était difficile; plus maintenant. Mais c'est toujours plus +difficile que ne rien faire. +Et les gens qui sont, vous savez… si vous n'avez appris aucun système +d'exploitation, alors apprendre GNU/Linux est aussi facile que n'importe +quoi d'autre, mais si vous avez déjà appris Windows, c'est plus facile de +continuer à faire ce que vous savez faire. C'est ça l'inertie. Et il y a +plus de gens formés à utiliser le système Windows que de gens formés à +utiliser le système GNU/Linux. Chaque fois que vous essayez de convaincre +les gens de changer, vous luttez contre l'inertie. De plus, nous avons le +problème que les fabricants de matériel ne coopèrent pas avec nous comme ils +coopèrent avec Microsoft. Nous avons cette inertie-là également. +Et ensuite, nous avons le danger des brevets logiciels dans certains +pays. Je souhaiterais que tous ceux qui lisent ceci (ou tous ceux qui +l'écoutent) s'adressent à tous leurs candidats aux élections du Parlement +européen et leur demandent de se situer par rapport à la question des +brevets logiciels. « Voterez-vous pour le rétablissement des amendements du +parlement qui ont été adoptés en septembre dernier et qui, apparemment, vont +être annulés par le Conseil de ministres ? Voterez-vous pour rétablir ces +amendements en seconde lecture ? » C'est une question très concrète à +laquelle on répond par oui ou par non. +Vous obtiendrez souvent d'autres types de réponse. Vous pourrez obtenir des +réponses évasives si vous demandez : « Êtes-vous pour ou contre les brevets +logiciels ? ». Les gens qui ont rédigé la directive prétendent qu'elle +n'autorise pas les brevets logiciels ; ils disent que c'est parce que, +d'après cette directive, tout ce qui peut faire l'objet d'un brevet doit +être de nature technique. Mais une personne de la Commission qui travaille +sur ce dossier admet qu'ils mettent dans ce terme ce qu'ils veulent y mettre +– effet de style pour endormir le monde ; donc, en fait il ne limite +rien. Alors, si un candidat vous dit « Je soutiens le texte de la +Commission, car il n'autorise pas les brevets logiciels », vous pouvez lui +faire cette remarque et reposer la question avec insistance : « Voterez-vous +pour les amendements précédents du Parlement ? » +</dd> + +<dt>OK. Merci beaucoup.</dt> +</dl> + +<div class="translators-notes"> + +<!--TRANSLATORS: Use space (SPC) as msgstr if you don't have notes.--> +<hr /><b>Notes de traduction</b><ol> +<li id="TransNote1">Autre traduction de <cite>proprietary</cite> : +propriétaire. <a href="#TransNote1-rev" class="nounderline">↑</a></li> +<li id="TransNote2">L'ambiguïté du mot <cite>free</cite> est qu'il peut +signifier « libre » ou « gratuit ». <a href="#TransNote2-rev" +class="nounderline">↑</a></li> +</ol></div> +</div> + +<!-- for id="content", starts in the include above --> +<!--#include virtual="/server/footer.fr.html" --> +<div id="footer"> +<div class="unprintable"> + +<p>Veuillez envoyer les requêtes concernant la FSF et GNU à <a +href="mailto:gnu@gnu.org"><gnu@gnu.org></a>. Il existe aussi <a +href="/contact/">d'autres moyens de contacter</a> la FSF. Les liens +orphelins et autres corrections ou suggestions peuvent être signalés à <a +href="mailto:webmasters@gnu.org"><webmasters@gnu.org></a>.</p> + +<p> +<!-- TRANSLATORS: Ignore the original text in this paragraph, + replace it with the translation of these two: + + We work hard and do our best to provide accurate, good quality + translations. However, we are not exempt from imperfection. + Please send your comments and general suggestions in this regard + to <a href="mailto:web-translators@gnu.org"> + + <web-translators@gnu.org></a>.</p> + + <p>For information on coordinating and submitting translations of + our web pages, see <a + href="/server/standards/README.translations.html">Translations + README</a>. --> +Nous faisons le maximum pour proposer des traductions fidèles et de bonne +qualité, mais nous ne sommes pas parfaits. Merci d'adresser vos commentaires +sur cette page, ainsi que vos suggestions d'ordre général sur les +traductions, à <a href="mailto:web-translators@gnu.org"> +<web-translators@gnu.org></a>.</p> +<p>Pour tout renseignement sur la coordination et la soumission des +traductions de nos pages web, reportez-vous au <a +href="/server/standards/README.translations.html">guide de traduction</a>.</p> +</div> + +<!-- Regarding copyright, in general, standalone pages (as opposed to + files generated as part of manuals) on the GNU web server should + be under CC BY-ND 3.0 US. Please do NOT change or remove this + without talking with the webmasters or licensing team first. + Please make sure the copyright date is consistent with the + document. For web pages, it is ok to list just the latest year the + document was modified, or published. + + If you wish to list earlier years, that is ok too. + Either "2001, 2002, 2003" or "2001-2003" are ok for specifying + years, as long as each year in the range is in fact a copyrightable + year, i.e., a year in which the document was published (including + being publicly visible on the web or in a revision control system). + + There is more detail about copyright years in the GNU Maintainers + Information document, www.gnu.org/prep/maintain. --> +<p>Copyright © 2004 Richard M. Stallman</p> + +<p>Cette page peut être utilisée suivant les conditions de la licence <a +rel="license" +href="http://creativecommons.org/licenses/by-nd/3.0/us/deed.fr">Creative +Commons attribution de paternité, pas de modification, 3.0 États-Unis +(CC BY-ND 3.0 US)</a>.</p> + +<!--#include virtual="/server/bottom-notes.fr.html" --> +<div class="translators-credits"> + +<!--TRANSLATORS: Use space (SPC) as msgstr if you don't want credits.--> +Traduction : José Fournier.<br /> Révision : <a +href="mailto:trad-gnu@april.org">trad-gnu@april.org</a></div> + +<p class="unprintable"><!-- timestamp start --> +Dernière mise à jour : + +$Date: 2018/11/03 21:59:49 $ + +<!-- timestamp end --> +</p> +</div> +</div> +</body> +</html> |