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@@ -31,11 +31,11 @@ dans l'environnement de l'information) à l'Université d'Orégon
(novembre 1995).</p>
<p>John Perry Barlow <a href="#ft3">[3]</a>, dans sa conférence d'ouverture,
-nous a expliqué comment le groupe musical <cite>The Grateful Dead</cite> a
-reconnu et géré ce conflit. Ses membres ont décidé qu'il serait mauvais
-d'intervenir pour faire cesser la copie de leurs concerts sur cassettes ou
-leur distribution sur Internet, mais ne voient rien de mal à faire appliquer
-le copyright sur les enregistrements CD de leur musique.</p>
+nous a expliqué comment le groupe musical <i>The Grateful Dead</i> a reconnu
+et géré ce conflit. Ses membres ont décidé qu'il serait mauvais d'intervenir
+pour faire cesser la copie de leurs concerts sur cassettes ou leur
+distribution sur Internet, mais ne voient rien de mal à faire appliquer le
+copyright sur les enregistrements CD de leur musique.</p>
<p>Barlow n'a pas analysé les raisons pour lesquelles ce support est traité
différemment et, plus tard, Gary Glisson <a href="#ft4">[4]</a> a critiqué
@@ -138,11 +138,11 @@ ordinaires la copie et le partage. Plus il est facile de copier et de
partager, plus cela devient utile et plus le copyright tel qu'il existe
actuellement devient une mauvaise affaire.</p>
-<p>Mais cette analyse explique aussi pourquoi les <cite>Grateful Dead</cite>
-sont logiques quand ils exigent l'application du copyright à la fabrication
-de CD mais pas à la copie individuelle. La production de CD fonctionne de la
-même façon qu'une imprimerie ; actuellement ce n'est pas à la portée de tout
-le monde, même des gens qui ont un ordinateur, de copier un CD vers un autre
+<p>Mais cette analyse explique aussi pourquoi les <i>Grateful Dead</i> sont
+logiques quand ils exigent l'application du copyright à la fabrication de CD
+mais pas à la copie individuelle. La production de CD fonctionne de la même
+façon qu'une imprimerie ; actuellement ce n'est pas à la portée de tout le
+monde, même des gens qui ont un ordinateur, de copier un CD vers un autre
CD. C'est pourquoi le copyright reste indolore pour les mélomanes quand il
s'applique aux CD industriels, tout comme il l'était globalement aux temps
de l'imprimerie. Cependant, restreindre la copie du même morceau sur une
@@ -280,19 +280,19 @@ la prochaine bataille. Si nous avons trop souvent recours à ces arguments,
et de manière trop appuyée, le risque existe que cela permette aux éditeurs
de remplacer la Constitution sans soulever de contestation.</p>
-<p>Par exemple, la prise de position récemment publiée par la <cite>Digital
-Future Coalition</cite>, une organisation fédérant plusieurs autres
-organisations, liste de nombreuses raisons de s'opposer au livre blanc :
-pour le bien des auteurs, des bibliothèques, de l'éducation, des Américains
-nécessiteux, du progrès technologique, de la flexibilité économique et du
-respect de la vie privée – arguments tous valables, certes, mais se
-rapportant à des questions annexes <a href="#ft15">[15]</a>. La raison la
-plus importante de toutes brille par son absence : beaucoup d'Américains (si
-ce n'est presque tous) veulent continuer à faire des copies. La DFC a raté
-sa critique du but ultime du livre blanc (donner plus de pouvoirs aux
-éditeurs) et de sa décision principale (rejeter la Constitution et placer
-les éditeurs au-dessus des utilisateurs). Ce silence pourrait être pris pour
-un consentement.</p>
+<p>Par exemple, la prise de position récemment publiée par la <i>Digital Future
+Coalition</i>, une organisation fédérant plusieurs autres organisations,
+liste de nombreuses raisons de s'opposer au livre blanc : pour le bien des
+auteurs, des bibliothèques, de l'éducation, des Américains nécessiteux, du
+progrès technologique, de la flexibilité économique et du respect de la vie
+privée – arguments tous valables, certes, mais se rapportant à des questions
+annexes <a href="#ft15">[15]</a>. La raison la plus importante de toutes
+brille par son absence : beaucoup d'Américains (si ce n'est presque tous)
+veulent continuer à faire des copies. La DFC a raté sa critique du but
+ultime du livre blanc (donner plus de pouvoirs aux éditeurs) et de sa
+décision principale (rejeter la Constitution et placer les éditeurs
+au-dessus des utilisateurs). Ce silence pourrait être pris pour un
+consentement.</p>
<p>Pour résister à la pression tendant à donner un pouvoir accru aux éditeurs,
nous avons besoin d'une prise de conscience généralisée du fait que les
@@ -311,32 +311,30 @@ Working Group on Intellectual Property Rights » (1995).</p>
<p id="ft3">[3] John Perry Barlow, intervention au congrès <cite>Innovation and the
Information Environment</cite> (nov. 1995). M. Barlow est l'un des
-fondateurs de l'<cite>Electronic Frontier Foundation</cite>, une
-organisation chargée de promouvoir la liberté d'expression dans le cadre des
-médias numériques ; c'est aussi un ancien parolier des
-<cite>Grateful Dead</cite>.</p>
+fondateurs de l'<i>Electronic Frontier Foundation</i>, une organisation
+chargée de promouvoir la liberté d'expression dans le cadre des médias
+numériques ; c'est aussi un ancien parolier des <i>Grateful Dead</i>.</p>
<p id="ft4">[4] Gary Glisson, intervention au congrès <cite>Innovation and the
Information Environment</cite> (nov. 1995) ; voir aussi Gary Glisson, « A
Practitioner's Defense of the NII White Paper », 75 <cite>Or. L. Rev.</cite>
(1996), article soutenant le livre blanc. M. Glisson est associé dans le
-cabinet d'avocats <cite>Lane Powell Spears Lubersky</cite> à Portland,
-Oregon, et président de l'<cite>Intellectual Property Group</cite> de ce
-cabinet.</p>
+cabinet d'avocats <i>Lane Powell Spears Lubersky</i> à Portland, Oregon, et
+président de l'<i>Intellectual Property Group</i> de ce cabinet.</p>
<p id="ft5">[5] Steven Winter, intervention au congrès <cite>Innovation and the
Information Environment</cite> (nov. 1995). M. Winter est professeur à la
-<cite>University of Miami School of Law</cite>.</p>
+<i>University of Miami School of Law</i>.</p>
-<p id="ft6">[6] Winter, <cite>supra</cite> note 5.</p>
+<p id="ft6">[6] Winter, <i>supra</i> note 5.</p>
<p id="ft7">[7] Voir Laurence H. Tribe, « The Constitution in Cyberspace: Law and
Liberty Beyond the Electronic Frontier », <cite>Humanist</cite>,
sept.-oct. 1991, p. 15.</p>
<p id="ft8">[8] Tim Sloan, intervention au congrès <cite>Innovation and the Information
-Environment</cite> (nov. 1995). M. Sloan est membre de la <cite>National
-Telecommunication and Information Administration</cite>.</p>
+Environment</cite> (nov. 1995). M. Sloan est membre de la <i>National
+Telecommunication and Information Administration</i>.</p>
<p id="ft9">[9] Voir Jane C. Ginsburg, « A Tale of Two Copyrights: Literary Property in
Revolutionary France and America », in <cite>Of Authors and Origins: Essays
@@ -354,15 +352,14 @@ auteurs et inventeurs, pour des temps limités, le droit exclusif à leurs
<p id="ft12">[12] James Boyle, intervention au congrès <cite>Innovation and the
Information Environment</cite> (nov. 1995). M. Boyle est professeur de droit
-à l'<cite>American University</cite>, Washington, D.C.</p>
+à l'<i>American University</i>, Washington, D.C.</p>
<p id="ft13">[13] Jessica Litman, intervention au congrès <cite>Innovation and the
Information Environment</cite> (nov. 1995). Mme Litman est professeur à la
-<cite>Wayne State University Law School</cite>, Detroit, Michigan.</p>
+<i>Wayne State University Law School</i>, Detroit, Michigan.</p>
<p id="ft14">[14] Pamela Samuelson, « The Copyright Grab », <cite>Wired</cite>,
-janv. 1996. Mme Samuelson est professeur à la <cite>Cornell
-Law School</cite>.</p>
+janv. 1996. Mme Samuelson est professeur à la <i>Cornell Law School</i>.</p>
<p id="ft15"><!-- (available at URL:
<a href="http://home.worldweb.net/dfc/press.html">
@@ -441,7 +438,7 @@ href="mailto:trad-gnu&#64;april.org">trad-gnu&#64;april.org</a></div>
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Dernière mise à jour :
-$Date: 2018/09/20 13:58:36 $
+$Date: 2020/12/07 14:31:22 $
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